
Entre espoir et tension, la chanteuse et musicienne néerlandaise se livre sur un album multipliant les textures sonores, de la pop de chambre aux musiques électroniques ou au rock psyché.
Un an après le succès de son mini album This Is Not A Democracy, Robin Kester continue s'aventurer sur des contrées musicales toujours plus kaléidoscopiques et expérimentales. S'évadant ainsi d'une longue série d'événements douloureux comme le deuil, l'artiste a trouvé la lumière dans l'écriture des onze titres de son album Honeycomb Shades attendu le le 24 février prochain. Entre captures instantanées de vie et introspections, l'auteure surmonte ainsi sa mélancolie et ses peurs dans un tourbillon pop métamorphe.
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Sa voix rêveuse plane sur les variations d'émotions trouvées dans les orchestrations indie pop ou dream pop, la noirceur du trip hop, un groove moite latino, un rythme krautrock enjoué, des riffs rock psyché ou un instrumental macabre. Un ensemble d’atmosphères surréalistes enregistrées et réalisées avec Marien Dorleijn, du groupe de rock indé Moss, puis retravaillées avec les musiciens de la chanteuse, guitariste et claviériste originaire d'Utrecht avant d'être finalisées par le producteur et ingénieur Ali Chant (Aldous Harding, PJ Harvey).