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- Nous poursuivons notre semaine dédiée à Jean-Michel Basquiat et la musique avec le premier épisode de notre série de podcasts.3 avril • 25 min
- Pour ce deuxième épisode de notre série consacrée à la relation intime entre l'artiste underground et la musique nous vous plongeons dans cet univers jazz qui l'a tant inspiré.4 avril • 25 min
- Pour ce troisième épisode de notre série consacrée à la relation intime entre l'artiste underground et la musique nous évoquons le single "Beat Bop", son ami Fab Five Freddy, Afrika Bambaataa ou le film indépendant "Downtown 81".5 avril • 25 min
- Pour ce quatrième épisode de notre série consacrée à la relation intime entre l'artiste underground et la musique nous évoquons Beethoven et La Callas, Hendrix et Public Enemy, ses voyages et la mort de l'artiste à 27 ans.6 avril • 28 min
À propos du podcast
Un podcast pour explorer les facettes musicales inconnues de l’artiste underground. Fip s’engouffre dans la musique de JM Basquiat avec la Philharmonie de Paris.
Tout le monde sait que Jean-Michel Basquiat était un peintre de talent. Mais savait-on qu’avant de devenir ce peintre mondialement connu, Basquiat, a été poète, sculpteur et surtout musicien et s’est illustré dans la musique en tant que leader officieux du groupe Gray, partageant la scène avec DNA ou The Lounge Lizards ? Qu’il a produit un single de rap intitulé Beat Bop en 1983 signé Rammellzee ? Ou encore que le jazz a changé en profondeur la composition de ses tableaux ?
FIP propose une semaine spéciale dédiée à Basquiat pour mieux connaître l’artiste côté musique et dévoiler des facettes inconnues en proposant plusieurs rendez-vous, des DJs set et un podcast sur son antenne.
New York, Downtown, 1980 : C’est ici que Fip s’installe, dans ce bouillonnement musical qui fait danser Madonna et dans son sillon un jeune homme, ange noir, qui signe à la bombe sur les murs de ce quartier alors délabré, des messages énigmatiques et poétiques sous le nom de SAMO, abréviation de Same Old Shit, ne soit « rien de nouveau ».
Le graff et le Hip-Hop naissant venus du Bronx et de Brooklyn vont croiser les derniers feux du punk et du disco. Basquiat est aux premières loges de ce renouveau sonore qui l’inspire, le porte, et auquel il prend part. Il monte un groupe, Gray, ni blanc ni noir, de la couleur de la ville, des machines, joue au DJ, écoute du Jazz.
Alors que la Philharmonie présente Basquiat Soundtracks, Fip s’engouffre dans les musiques de JM Basquiat, carburant indispensable et indissociable de son geste artistique.
Avec pour guides : Maripol, styliste, photographe, amie de JM Basquiat et productrice du film Downtown 81; Agnès B, styliste et collectionneuse d’art; Avram Fefer, Saxophoniste de jazz; Elliott Murphy, musicien de Greenwich Village et Vincent Bessières, journaliste et commissaire de l’exposition Basquiat Soundtracks à la Philharmonie de Paris accompagné des archives de l’INA.