

Acteur, auteur, réalisateur, notre invité de la semaine est dans quelques-unes des comédies françaises les plus cultes. Ordure, bronzé, choriste ou simple flic : Gérard Jugnot est l'invité de Déborah Grunwald pour France Bleu.
Dans cet épisode de l'émission Dans le rétro :
"Mes parents avaient peur pour moi parce qu'ils ne connaissaient pas le métier. Moi, j'avais peur pour Arthur parce que je connaissais ce métier."
"On a perdu le sens du second degré. Il y a des blagues que j’adore mais que l'on ne raconte qu'en petit comité, parce que ça pourrait être mal pris. J'adore dire des horreurs. Mais j'essaye de ne pas les dire en public."
"Je n'aime pas ce sentiment de jalousie. C'est pour ça que j'aime bien avoir des succès de temps en temps. Ça rend moins jaloux."
"Le rire c’est un exutoire"
"La maladie professionnelle de ce métier, c'est l'aigreur."
"Si vous allez chez Hanouna, vous savez que c'est dangereux. Avant, il y avait Ardisson ou Fogiel qui vous titillez et il fallait arriver à se défendre. Il faut faire attention, on peut blesser des gens."
"On ment parfois pour ne pas blesser ou protéger."
Quand un ami va mal : "C’est très difficile de récupérer quelqu’un qui est tombé, par contre, on peut l’empêcher de tomber."
"Les tablettes sont devenues les baby-sitters de beaucoup de familles. C'est terrible. C'est bien de parler aussi."
"J'aime bien réparer. J’aime bien que la comédie et le cinéma réparent la vie qui n'est pas toujours bien faite. Le cinéma, c'est la vie en mieux."
"Le mal de vivre, je le guéris en vivant."
"Les dépressifs n’arrivent ni à rire, ni à pleurer. C’est important de pleurer aussi."
Le coup de promo :
Direction le théâtre Edouard VII à Paris pour retrouver Gérard Jugnot dans "Le Jour du Kiwi" avec Arthur Jugnot, Florence Pernel et Elza Rosenkop. On y parle du temps, de la solitude, de la vie et d’un homme seul, qui va retrouver le goût de vivre.
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Comptable maniaque, obsessionnel et surtout très procédurier, depuis la mort de sa femme, Barnabé mène une vie de solitaire et ne voit que très rarement Benoit son fils unique. Son seul vrai contact avec le monde extérieur se limite à sa visite hebdomadaire chez sa psychanalyste. Sa vie est réglée, rien n’est laissé au hasard, jusqu’au jour où il découvre qu’il manque un yaourt dans son frigo... Barnabé en est sûr, le yaourt était encore là la veille ! Et si un simple yaourt pouvait changer le cours d’une vie ?
Programmation musicale
- 05h51
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