

Un premier album qui rassemble tout ce qu’elle est : ses amitiés, ses admirations, ses souvenirs...
Quelques mois après un EP introductif, Gabi Hartmann dévoile enfin un premier album éponyme qui lui permet de se raconter.
Enfant, elle écoute, à travers les choix de sa famille, à la fois de la chanson, du rock et des musiques de partout. Son instrument ? Le piano classique jusqu’à 14 ans, âge où elle l’échange contre la guitare de son frère pour écrire des chansons. Le jazz surgit en rewind après sa découverte d’Amy Winehouse et de ses reprises d’Ella, Sinatra ou Nat King Cole.
Alors quand Jesse Harris lui propose de produire son album, elle y voit l’occasion d’y mettre tout ce qu’elle est. Dès leur rencontre, les deux musiciens écrivent et enregistrent entre New York et Paris. Peu à peu, émerge, des chansons de Gabi, la cohérence entre son amour des grands standards jazz et ses confessions de jeune Française de son siècle, entre sa fascination pour les musiques des Tropiques et son instinct poétique parisien...
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Un EP sorti en 2021 annonçait déjà une grande voix à la fois populaire et savante... Et voice ce que cet album confirme : Timbre chaud et précis avec une once de désinvolture élégante, charme également funambule en français, en anglais et en portugais (et aussi pour quelques couplets en arabe), esthétique intemporelle et regard franc sur son époque, phrasé d’idole du disque et classe des classiques de Cinecittá, auteure introspective et compositrice plurielle... Voici tout ce qui définit Gabi Hartmann.
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- Attaché(é) d'édition