The servant

Maxime d’Aboville, Molière du comédien 2015 dans un spectacle du théâtre privé ; The Servant prix de la critique 2015

« A Londres, Tony, un jeune aristocrate paresseux, emménage dans une confortable maison. Il engage Barrett. Ce dernier se révèle un valet modèle, travailleur et intelligent. Une certaine complicité s’établit peu à peu entre eux, mais rapidement les rôles s’inversent et le maître se retrouve être l’esclave de son serviteur. Une pièce où le suspens psychologique se marie à la comédie toute en nuances anglaises. Huis clos passionnant où la lutte des classes mène un combat acharné pour la domination, dans un mélange de thriller, de surréalisme et d’humour noir. » Thierry Harcourt

« Dans notre société où les hiérarchies ne sont plus qu’apparences, il y a, s’agissant du pouvoir un critère qui fait la distinction, c’est le travail. Quand Barrett empêche Tony de travailler, il agit sur son dernier levier d’autonomie. Il le fait tomber dans l’oisiveté – le vice suprême, celui qui induit tous les autres. » Maxime d’Aboville