Alors que l'Allemagne et l'Autriche ont décidé de rétablir temporairement le contrôle à leurs frontières, les 28 ministres de l’intérieur de l'UE se réunissent à Bruxelles pour tenter de trouver une réponse à l'afflux de migrants et de réfugiés en Europe. Mais sur cette question, les pays membres restent très divisés.
Sauf que cette décision n'arrêtera pas le flux de dizaines de milliers de migrants et réfugiés syriens, irakiens, erythréens.
Dans ce schéma, la décision allemande symbolise l'incapacité de l'union européenne à répondre à cette crise. Et à y répondre de manière unie. Notre correspondant à Bruxelles,** Pierre Bénazet explique que la décision allemande risque même de polariser les débats lors d'une réunion des 28 ministres de l'intérieur de l'UE ** **** prévue lundi après-midi** :**
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**L'Allemagne comme la France demandent que l'Europe puisse avoir sur ses frontières un contrôle ** François Hollande
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Les pays membres de l'Union Européenne ont déjà pris ici et là des intiatives? Citons l'installation de centres de rétention, des contrôles renforcés, mais elles ne sont pas à la hauteur de la situation.L'analyse de Marie-Pierre Vérot : .
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Pendant ce temps, les drames se succèdent. Hier, 34 personnes dont quatre bébés et 11 jeunes enfants ont péri au large de la Grèce après le naufrage de leur embarcation de fortune .
Invité du journal de 12h30 de France Culture ce lundi, le député EELV Sergio Coronado s'est offusqué des réponses apportées jusque là aux probmèmes des réfugiés. Il fustige l'absence d'une réponse politique partagée par les pays européens :
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