La liberté, même pour un instant (2/2)

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La liberté, même pour un instant (2/2)

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_______________________________________________ Première partie (1) | La suite (2)*

Ali et les deux enfants, Azy et Arman.
Ali et les deux enfants, Azy et Arman.

Quand l’exil pousse à l'engagement

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Le metteur en scène Arash Riahi s’est inspiré de sa propre histoire, en particulier de celle de son frère et sa sœur pour témoigner d’une des difficiles épreuves des réfugiés. A son image, les exilés et ceux qui ont réussi à fuir sont souvent très militants.

**Ali et les deux enfants, Azy et Arman. © Les films du losange **
Comment Payam Madjlessi découvre à quel point le film est à la fois issu de l'histoire personnelle de son réalisateur et combien ce récit est en même temps universel. [2'46'']


Behi Djanati-Ataï témoigne et transmet son expérience par l'intermédiaire du théâtre et dans son métier. [1’47’’]

Le comédien Said Oveissi dans le rôle d’Abbas, le professeur désabusé.
Le comédien Said Oveissi dans le rôle d’Abbas, le professeur désabusé.

Fuir à n’importe quel prix

Si le voyage des refugiés ressemble à un parcours du combattant, il se justifie par des raisons essentielles, des motivations profondes et pourtant le prix à payer est souvent très élevé même après la fuite.

**Le comédien Said Oveissi dans le rôle d’Abbas, le professeur désabusé. © Les films du losange **
Behi Djanati-Ataï raconte ses difficultés d’intégration des années après son arrivée en France. [4’38’’]

 	Manu, le jeune kurde insouciant, joué par Fares Fares.
Manu, le jeune kurde insouciant, joué par Fares Fares.

Exilé un jour, exilé de toujours

Après plusieurs années ou même dizaine d’années, l’intégration est douloureuse et les réfugiés gardent toujours en mémoire les couleurs et senteurs de leur pays d’origine.

**Manu, le jeune kurde insouciant, joué par Fares Fares. © Les films du losange **
Payam Madjlessi se souvient des difficultés rencontrées à son arrivée et des étapes de son intégration. [4'04'']


Behi Djanati-Ataï dit se souvenir d’un fruit ou d’une fleur, des images et des odeurs qui lui manquent parfois. [2’20’’]

 	Ali et Merdad en transit, avec Jasmin, rencontrée sur place.
Ali et Merdad en transit, avec Jasmin, rencontrée sur place.

La vie en Iran aujourd’hui

Behi Djanati-Ataï et Payam Madjlessi ont toujours de la famille et restent encore en contact avec des amis qui vivent en Iran. Ils cultivent tous les deux un lien affectif fort avec leur pays d’origine.

**Ali et Merdad en transit, avec Jasmin, rencontrée sur place. © Les films du losange **
Pour Payam Madjlessi l'Iran est encore est encore en train de chercher sa place à l'image d'un adolescent turbulent. [3'02'']


Pour Behi Djanati-Ataï, s'il doit y avoir une nouvelle révolution en Iran, elle sera féminine. [1’17’’]


_______________________________________________ Première partie (1) | La suite (2)* > Retrouvez le dossier Figures de Femmes d’Iran ** . Autour de la journée spéciale du 30 septembre consacrée aux femmes d'Iran, des portraits de femmes iraniennes emblématiques, une série de photographies d'Alfred Yaghobzadeh et un entretien au long court réalisé en 2009 avec Behi Djanati-Ataï.> Retour sur notre dossier * L'Iran, 30 ans après * .