Le droit peut-il sauver la nature ?
Par Palais de la découverte et Cité des sciences et de l’industrie
Ces dernières années, plusieurs États ont donné des droits à la nature : la Nouvelle Zélande reconnaît le fleuve Whanganui en qualité de sujet de droit, l’Inde a accordé le statut de personne au Gange, l’Équateur et la Bolivie donnent des droits à la "Terre-mère". Et en France ?
En France, la convention citoyenne pour le climat avait proposé la création du crime d’écocide pour pénaliser les atteintes graves à l’environnement. Accorder des droits à la nature permet-il de la protéger efficacement ?
Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies Publicité.
Ces cookies permettent à nos partenaires de vous proposer des publicités et des contenus personnalisés en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intérêt.
Une table ronde enregistrée en décembre 2020.
Julien Bétaille, maître de conférences en droit public à l'université Toulouse 1 Capitole, co-directeur du Master 2 Droit de l'environnement
Marine Calmet, juriste, présidente de l'association "Wild Legal"
Marine Yzquierdo, avocate et membre de l'association "Notre affaire à tous".
Modération : Octave Larmagnac-Matheron, journaliste à Philosophie magazine.
À lire aussi : Chloé Gerbier : "Il est temps de réinvestir le droit de l'environnement et de le rendre militant"
À réécouter : Quel crédit accorder au crime d'écocide ?
À réécouter : Justice climatique : la nature peut-elle reprendre ses droits ?