Passion, violence et pouvoir : le trio infernal
Par Université d'Avignon et des Pays de Vaucluse
Motifs récurrents de la tragédie grecque, les figures du monstre et de la vengeance sans fin sont au cœur de la représentation des violences collectives. Entre respect des normes d’une société et leurs transgressions, c’est la civilisation qui est interrogée.
Normes et transgression
La tragédie, c’est gratuit. C’est sans espoir. Ce sale espoir qui gâche tout. Enfin, il n’y a plus rien à tenter. C’est pour les rois la tragédie. Sorj Chalandon
Une conférence de la 3ème édition des "Rencontres Recherche et Création" organisées par l’Agence Nationale de la Recherche (ANR) et le Festival d’Avignon, enregistrées en juillet 2016,
Ismaêl Moya, chargé de recherche Cnrs en ethnologie, Université Paris Ouest Nanterre La Défense
Wes Williams, professeur de littérature de la renaissance et moderne, Université d’Oxford
Richard Rechtman, ethnologue et psychiatre, directeur d'études Ecole des hauts études en sciences sociales, directeur du labex Tepsis "Transformation de l’Etat, Politisation des Sociétés, Institution du Social, Psychiatre des hôpitaux"
Fiona Macintosh, professeur, chaire de Réception des classiques, Université d’Oxford, Directeur "Archive of Performances of Greek and Roman Drama"
Didier Sandre, Comédien de la Comédie Française.
En savoir plus : Eloge de la vengeance