

Initié de bonne heure à la musique classique, Maxime Le forestier fait ses premiers pas en solo dans l’ombre de Brassens, son mentor. Retour sur une longue carrière faite de succès et de bémols, de rencontres déterminantes et de réinventions.
- Maxime Le Forestier Auteur-compositeur-interprète français
Après le boum des 3 premiers albums, à partir de 1976, Maxime Le Forestier enchaîne les échecs commerciaux. Le chanteur-guitariste revient sur les raisons de cette longue traversée du désert néanmoins ponctuée de belles oasis (Je veux quitter ce monde heureux sur l’album N°5 ; Le fantôme de Pierrot, une chanson fleuve parue sur l’Hymne à sept temps ; Le sommeil des amoureux sur Aftershave), la découverte de la surdité de son fils aîné, Philippe, né en 1981, et la manière dont il a surmonté ces épreuves grâce notamment à la psychanalyse et à Françoise Dolto.
L’artiste évoque à nouveau son rapport à l’écriture : écrire pour soi ou pour les autres (la collaboration avec Julien Clerc, ami et complice de longue date), seul ou à quatre mains (la rencontre avec le parolier Boris Bergman avec qui il co-signe Chienne d’idée, extrait de l’album Passer ma route sorti en 1995), et retrace la genèse de quelques-uns de ces textes dont Né quelque part, véritable tube extrait de l’album éponyme produit par l’arrangeur Jean-Pierre Sabar, qui permet à Maxime de renouer enfin avec le succès.
Liens
Biographie sur le site d’Universal Music.
Sa discographie complète sur le site Discogs.com.
La vie en musique de Maxime Le Forestier, à lire dans Télérama.
Maxime Le Forestier, invité de l’émission « Taratata » : Biographie et Lives.
Le jardin secret de Maxime Le Forestier. Emission « 30 millions d'amis », diffusée le 10 novembre 1979.
Georges Brassens et Maxime Le Forestier chez un luthier, dans l’émission présentée par Pierre Tchernia, Le petit dimanche illustré (12 octobre 1975).
La fameuse « Maison bleue » accrochée à la colline. Sur le site Lost in the USA.

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