"La torture était devenue un système judiciaire" : épisode 3/5 du podcast Gisèle Halimi, la cause des femmes

L'avocate Gisèle Halimi, en compagnie de l'actrice Delphine Seyrig, 11 octobre 1972 à Bobigny, lors du procès de Marie-Claire Chevalier, poursuivie pour avoir avorté
L'avocate Gisèle Halimi, en compagnie de l'actrice Delphine Seyrig, 11 octobre 1972 à Bobigny, lors du procès de Marie-Claire Chevalier, poursuivie pour avoir avorté ©AFP - Michel Clément
L'avocate Gisèle Halimi, en compagnie de l'actrice Delphine Seyrig, 11 octobre 1972 à Bobigny, lors du procès de Marie-Claire Chevalier, poursuivie pour avoir avorté ©AFP - Michel Clément
L'avocate Gisèle Halimi, en compagnie de l'actrice Delphine Seyrig, 11 octobre 1972 à Bobigny, lors du procès de Marie-Claire Chevalier, poursuivie pour avoir avorté ©AFP - Michel Clément
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Commise d'office pour défendre des indépendantistes tunisiens, l'avocate Gisèle Halimi s'engage dans les luttes anticoloniales en Tunisie et en Algérie durant huit années. C'est à cette époque qu'elle découvre la torture.

Avec

Par Virginie Bloch-Lainé. Avec la collaboration de Claire Poinsignon.

Réalisation : Dominique Costa. Prise de son : Laurent Césard et Laurent Machietti.

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3) Avocate irrespectueuse . Commise d’office pour défendre des indépendantistes tunisiens, Gisèle Halimi s’est engagée de cette façon dans les luttes anticoloniales en Tunisie et en Algérie pendant huit ans. Son parcours présente plusieurs points de raccordement avec celui de Jacques Vergès, rencontré pendant ces années-là.

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