La formation : épisode 1/5 du podcast Pierre-William Glenn

Le président de la Commission technique chargée de la projection, Pierre-William Glenn, pose au Palais des Festivals le 12 mai 2009 à Cannes, à la veille de l'ouverture du 62ème Festival de Cannes.
Le président de la Commission technique chargée de la projection, Pierre-William Glenn, pose au Palais des Festivals le 12 mai 2009 à Cannes, à la veille de l'ouverture du 62ème Festival de Cannes. ©AFP - Anne-Christine Poujoulat
Le président de la Commission technique chargée de la projection, Pierre-William Glenn, pose au Palais des Festivals le 12 mai 2009 à Cannes, à la veille de l'ouverture du 62ème Festival de Cannes. ©AFP - Anne-Christine Poujoulat
Série « Pierre-William Glenn »

Épisode 1/5 : La formation

Lundi 13 mai 2019
Le président de la Commission technique chargée de la projection, Pierre-William Glenn, pose au Palais des Festivals le 12 mai 2009 à Cannes, à la veille de l'ouverture du 62ème Festival de Cannes. ©AFP - Anne-Christine Poujoulat
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Pierre-William Glenn est une figure centrale du cinéma français de ces cinquante dernières années. Enfant de la Nouvelle Vague, militant trotskiste, cinéphile impénitent, il affirme dès sa jeunesse un esprit frondeur.

Avec

Cadreur et chef opérateur de réalisateurs marquants (Truffaut, Rivette, Tavernier, Corneau, Pialat, Fuller, Losey, Lelouch ), réalisateur de films lui-même, ancien président de l’association française des directeurs de la photo (ASC) qu’il a fondée, président d’honneur de la CST (Commission supérieure technique) et en charge des projections au festival de Cannes, co-directeur du département Image de la Femis, Pierre-William Glenn a multiplié les activités pendant un demi-siècle. 

Élevé à Montreuil , habitant Montmartre où ces entretiens ont été réalisés, Pierre –William Glenn a toujours été en contact avec les milieux populaires. Très jeune, son engagement trotzkiste se manifeste tout comme son goût pour le cinéma avec la découverte à 6 ans de Blanche Neige au Gaumont Palace. 

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Voisin de Claude Miller, quasiment son mentor, et qui épouse sa sœur, il prépare comme lui l’IDHEC, après des études de mathématiques, et fait ses premières armes en filmant grèves et manifestations en mai 68. 

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