Les débuts de Benedictus : épisode 2/5 du podcast Dick Annegarn, apôtre de l’"oraliture"

Dick Annegarn dans un salon de La Maison de la Poésie, à Paris.
Dick Annegarn dans un salon de La Maison de la Poésie, à Paris. - Matthieu Conquet
Dick Annegarn dans un salon de La Maison de la Poésie, à Paris. - Matthieu Conquet
Dick Annegarn dans un salon de La Maison de la Poésie, à Paris. - Matthieu Conquet
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Le Hollandais devenu gascon d’adoption, raconte son attachement au verbe, à la sensualité du français, à l’anglais que parlaient ses parents et surtout à l’arabe, sacré et poétique. Récit d’un chanteur qui a beaucoup "itinéré" à bord d’une péniche sur la Marne, au Maroc ou au Cambodge.

Avec

Par Matthieu Conquet. Réalisation : Vincent Decque. Avec la collaboration de Claire Poinsignon.

Dick Annegarn analyse le sens de son prénom Benedictus, revient sur l’école européenne, la seule qu'il ait connu, les langues qui vont le former. L’anglais que parlaient ses parents, leur rencontre à Londres, la résistance, furent aussi fondateurs pour cet esprit critique et polyglotte.

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La Hollande apparaît comme le pays de la solitude, la France comme celui d’une certaine sensualité. Dick Annegarn évoque ses débuts à Paris, la scène folk rue Quincampoix, le centre américain bd Raspail, la rue où il chante, Maxime LeForestier qui lui présente Jacques Bedos, figure majeure de la production de disques des années 70. L’ancien étudiant agronome se définit contre les hippies et se défend de certains contresens nés de ses chansons.

Sa page sur le site du label Tôt ou tard.