%22%20xlink%3Ahref%3D%22data%3Aimage%2Fjpeg%3Bcharset%3Dutf-8%3Bbase64%2C%2F9j%2F2wBDACgcHiMeGSgjISMtKygwPGRBPDc3PHtYXUlkkYCZlo%2BAjIqgtObDoKrarYqMyP%2FL2u71%2F%2F%2F%2Fm8H%2F%2F%2F%2F6%2F%2Bb9%2F%2Fj%2F2wBDASstLTw1PHZBQXb4pYyl%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj%2FwAARCAAXACoDASIAAhEBAxEB%2F8QAGQAAAwEBAQAAAAAAAAAAAAAAAAMEAgEF%2F8QAHhAAAgMAAgMBAAAAAAAAAAAAAQIAAxESQSEiMVH%2FxAAWAQEBAQAAAAAAAAAAAAAAAAABAgD%2FxAAZEQEBAQADAAAAAAAAAAAAAAAAARECITH%2F2gAMAwEAAhEDEQA%2FAKVOfYwZPPWx2fRoEy1lobwTI1c46vvbFGdyMWax49Sirk1fuJxaqQd9gTFLdRUsD3HyAHgzHe5ULlyYS6TZxazQMyMSpeIObCEJ6rejQs1wDfRCEsEWVqr4R4MOA%2FIQgz%2F%2F2Q%3D%3D%22%20%2F%3E%3C%2Fsvg%3E)
Toi, tu restes planté là. Dans une marée sclérosante de modernité.
Par Amandine Casadamont et Sophie Morello, réalisation Lionel Quantin
Technique : Benjamin Vignal, Beverly Casadello, Philip Mersher
En 1967 Georges Perec invité par Pierre Dumayet définissant ainsi Un homme qui dort :
C'est l'histoire de quelqu'un qui se déprend complètement, qui tombe dans l'indiférence, et qui ensuite est fasciné par cette indifférence... C'est un étudiant, en train de faire ses études, un certain jour, à un moment quelconque de sa vie, il ne comprend plus très bien pourquoi il est en train de faire des études...
Il ouvre une porte et de l'autre côté il y a un paysage qu'il ne reconnaît plus, il y a un monde qui ressemble au monde dans lequel il a vécu mais tellement transformé, tellement neutralisé.
L'indifférence commence par la neutralité, tout ce qu'il fait, il le fait sans accorder de valeur.
En 2017, à nous de décrocher par rapport au réel
Monologue: Sophie Morello
Musique Originale : Amandine Casadamont et Sophie Morello
Bruitage : Elodie Fiat
L'équipe
- Production
- Collaboration