En ville ou à la campagne, au sol ou sur les toits, exigus ou aux dimensions avantageuses,les jardins ont en commun de provoquer des sentiments, des émotions…, de susciter un imaginaire aux couleurs futuristes ou aux effluves du passé.
- Gilles Clément Jardinier, paysagiste, botaniste, entomologiste, biologiste et écrivain
- Olivier Pinalie Artiste plasticien, peintre et graveur
- Philippe Schaller Rédacteur en chef adjoint de la revue "Soixante-Quinze"
- Bruno Housset Pneumologue, président de la Fondation du Souffle
En partenariat avec Le Monde, retrouvez chaque jour les articles Planète et Sciences dans le quotidien et sur LeMonde.fr
Les jardins, multiples dans leur façon d’être, d’évoluer, de se transformer, de vivre tout simplement, en osmose avec les hommes, avec ou sans contrainte, nous questionnent sur notre rapport à la nature et à ses formes de vie.
A l’occasion de l’ exposition « Jardins » présentée au Grand Palais du 15 mars au 24 juillet, et du week end spécial « Jardins » sur France Culture, l’art et les vertus de ces lieux propices à l’imaginaire, à la réflexion et aux rencontres, est notre sujet, aujourd’hui, avec en studio Gilles Clément, jardinier paysagiste, on vous retrouve dans cette exposition du Grand Palais.Et on vous doit de nombreux livres dont le dernier s’intitule Des jardins et des hommes , paru aux éditions Bayard, et à signaler le livre Toujours la vie invente à paraître en mai, aux éditions Locus-Solus, à l’occasion de l’exposition du même nom qui aura lieu au Château de Trévarez dans le Finistère à compter du 9 mai.Et à ses côtés, Olivier Pinalie, artiste plasticien, peintre et graveur, créateur du Jardin solidaire qui marqua un temps dans le 20e arrondissement de Paris, et dont vous racontez l’histoire dans le livre Chronique d’un Jardin solidaire , paru aux éditions CNT-RP.
Et puis en seconde partie d’émission, vers 23h45, en partenariat avec le service Planète-Science du Monde, « Les Echos de la terre » s’intéresseront aux start-up qui fleurissent en matière d’environnement…, à l’occasion de la sortie du dernier numéro du magazine Soixante -Quinze , magazine lancé il y a un an et qui a pour ambition de raconter Paris, et le dernier numéro est un spécial « Pollution » dont nous parlerons avec le rédacteur en chef adjoint Philippe Schaller et le Professeur Bruno Housset, chef du service de pneumologie au centre hospitalier intercommunal de Créteil, spécialiste des affections liées à la pollution.
- Les phrases de nos invités
Gilles Clément "Pour faire un jardin, il faut un morceau de terre et l'éternité "
Olivier Pinalie "Le meilleur moyen de se défendre c'est de ne pas leur ressembler"
Les liens pour en savoir plus
L' Union Nationale des Entreprises du Paysage, seule organisation professionnelle représentative des 28 600 entreprises du paysage reconnue par les services publics, représente et défend la profession, accompagne, forme, informe et conseille ses adhérents ainsi que le grand public.Toutes ses actions et réalisations sont animées et contrôlées par des professionnels.
Hortis. Cette association tient son origine d'un premier regroupement professionnel opéré en 1936 sous l'impulsion d'Eugène Le Graverend, alors Directeur des espaces verts de la Ville de Rouen. Un tournant important est pris en 1971 avec les statuts « modernes » de l'association française des directeurs de jardins et espaces verts publics, remaniés en 2009. Puis est venu Hortis, fruit d'un travail collectif au terme de débats et d'échanges riches, devenu un acteur incontournable de la filière horticole et du monde du paysage.
Palmarès des villes vertes 2017. L’Observatoire des villes vertes a pour objectif de développer la réflexion sur les perspectives de la ville verte en France et de promouvoir le foisonnement d’initiatives végétales en milieu urbain. Créé en 2014 par l’Unep - Les Entreprises du Paysage – et Hortis, organisation rassemblant les responsables d’espaces nature en ville. DOSSIER DE PRESSE, OBSERVATOIRE DES VILLES VERTES, mars 2017
Angers, Nantes et Strasbourg : le palmarès des villes les plus vertes de France. L'Observatoire des villes vertes livre son palmarès 2017 pour ces trois villes qui arrivent en tête grâce à des politiques volontaristes et des actions innovantes pour la préservation de la biodiversité en ville. We Demain, 14/03/2017
La Fondation du Souffle vise à rassembler tous les acteurs impliqués au plan national dans la lutte contre les maladies respiratoires. Elle se donne notamment pour mission de susciter et de soutenir le développement de projets de Recherche, dans le combat contre les maladies respiratoires et leurs causes, grâce aux financements obtenus auprès de mécènes et de la générosité publique..
Revue du web de l'environnement
Pour suivre l’actualité environnementale au fil des jours, consultez l’univers Netvibes d’Anne Gouzon de la Documentation de Radio France (Utilisez de préférence Firefox ou Google chrome) Netvibes - L’ACTUALITÉ ENVIRONNEMENTALE
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Le Plus et le Moins de la semaine
Le Moins de la semaine : Cochons : l'urgence de transformer la filière
Peut-être l’avez-vous déjà regardé ou vu déjà passé l’information, mais une nouvelle vidéo vient d’être mise en ligne par l’association L214. Celle-ci a été tournée dans un élévage intensif de cochons sur le territoire breton. Il s’agit encore une fois d’images choquantes, mettant en lumière des conditions de vie et de mort inacceptables pour des milliers de bêtes au quotidien.
Suite à cette vidéo, le préfet du Finistère a demandé à la Direction départementale de la protection des populations de diligenter une inspection du site pour établir la véracité des faits montrés dans la vidéo. Au-delà de l’horreur de la vidéo, il s’agit encore une fois pour l’association de pointer du doigt les conditions de vie de ces animaux et d’obliger les éleveurs à reconsidérer la filière et l’élevage intensif. Selon CIWF,, CIWF (Compassion in World Farming) a été créée il y a près de 50 ans, en 1967, En France, environ 95% des cochons sont élevés dans des systèmes intensifs, qui ne leur permettent pas d'exprimer leurs comportements naturels.
Pour plus d’informations, tournez-vous vers le site de l’association L214, ainsi que le site du CIWF.
Le Plus de la semaine : Le Stade rochelais rejoint l'ONG 1 % pour la planète
Il s’agit d’une première dans le monde du sport professionnel et dans le monde des Organisations Non Gouvernementales. Depuis 2002, l’ONG 1% pour la planète tente d’obtenir de la part des entreprises le versement d’un pour cent de leurs ventes à des organismes environnementaux. Aujourd’hui, c’est un club de rugby professionnel qui signe la convention.
Vincent Merling, président du club de rugby du Stade Rochelais et Charles Kloboukoff, président de l’antenne française de l’ONG 1% pour la planète, viennent de signer dans les locaux du Ministère de l’Environnement, en présence de Ségolène Royal, une convention de partenariat. De cette manière, le Stade Rochelais s’engage à reverser 1% de son chiffre d’affaire provenant de la billetterie des matchs de Top 14 et de Coupe d’Europe pour les prochaines saisons (2016-2017 et 2017-2018) à l'association.
« Un club n’est pas seulement une organisation sportive. C’est aussi une organisation économique et sociale dont les connexions sociétales sont multiples. La prise en compte de notre responsabilité sociétale est un donc un enjeu essentiel pour le développement et la pérennité du Stade Rochelais. Notre engagement auprès de 1 % Pour la Planète est une illustration concrète des trois valeurs fondamentales du club : le progrès, l’engagement et la solidarité », expliquait Pierre Venayre, le directeur général du Stade rochelais.
Pour plus d’informations, aller voir cet article et le site de 1% for the planet (dont la filière française vient de s’ouvrir).
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