La Libre Pensée - Le Coup d'état d'urgence : Loi Sécurité globale mais libertés minimales !

Arié Alimi lors d'une séance de photos à Paris en 2019.
Arié Alimi lors d'une séance de photos à Paris en 2019. ©AFP - Joël Saget
Arié Alimi lors d'une séance de photos à Paris en 2019. ©AFP - Joël Saget
Arié Alimi lors d'une séance de photos à Paris en 2019. ©AFP - Joël Saget
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En compagnie de l'avocat Arié Alimi, La Libre Pensée fait le point sur l’état des libertés publiques et démocratiques dans la France d’aujourd’hui et de la résistance qui s’organise.

Avec
  • Arié Alimi Avocat, membre du comité central de la Ligue des Droits de l'Homme (LDH).

Avocat, né à Sarcelles, Arié Alimi a vécu dans les quartiers populaires jusqu’à la faculté de droit à Assas à Paris où il s’est engagé politiquement contre le GUD. Militant anti-raciste, il a rejoint la LDH en 2015 à la suite de l’affaire Rémi Fraisse dont il s’occupe toujours. 

Il est très investi dans les affaires de violences policières (Jérôme Rodrigues, Geneviève Legay, Cédric Chouviat, près d’une cinquantaine de dossiers en cours) et de plus en plus en droit de la presse. Il compte parmi les initiateurs de la mobilisation contre la proposition de loi sur la Sécurité globale.

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Son récent ouvrage, Le Coup d’état d’urgence paru au Seuil en début d'année, est un réquisitoire, une fois n’est pas coutume, contre la politique sécuritaire du gouvernement Macron. Dès le prologue, une phrase marque les esprits : « Depuis cinq ans, la France a vécu plus de temps sous le régime d’exception de l’état d’urgence que sous le régime du droit commun. » 

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