Un autre droit du travail est-il nécessaire ?

Laurent Bigorgne, Guillaume Goubert, Hervé Gardette et Philippe Martinez
Laurent Bigorgne, Guillaume Goubert, Hervé Gardette et Philippe Martinez - CL / HC
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Une émission en partenariat avec le journal La Croix

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Définir la bonne articulation de l’accord d’entreprise et de l’accord de branche ; simplifier et renforcer le dialogue économique et social ; sécuriser les relations de travail, tant pour les salariés que pour l’employeur : voici ce que l’on peut lire sur le site du ministère du Travail, à propos du projet de réforme du Code du travail, qui devrait occuper le gouvernement, les députés et les partenaires sociaux pendant une partie de l’été. Les consultations sont en cours. Elles ne permettent pas, à ce stade, d’avoir une idée précise de ce qu’entend mettre en œuvre l’exécutif. En début de semaine, le premier ministre n’écartait pas l’idée de permettre aux entreprises d’établir leurs propres règles en matière de licenciement. Hypothèse retoquée le lendemain par la ministre, Muriel Penicaud. Si les détails manquent aujourd’hui, la philosophie de la réforme, elle, est connue : il s’agit de renvoyer au plus près du terrain le dialogue social et l’élaboration des normes, dans la continuité de la loi El Khomri, en vigueur depuis le 1er janvier dernier. Comme les précédentes réformes, celle-ci part du postulat que le droit du travail est trop complexe et trop rigide ; que cette complexité et cette rigidité sont des freins à l’emploi.

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Lien : Le billet politique de Frédéric Says, Réforme du code du travail : les hommes de l'ombre (France Culture, 23 mai 2017)

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