Le temps nocturne n'est pas de tout repos : c'est aussi celui de la fête, et d'un certain sens de la démesure. Mais derrière l'ostentatoire se cache une économie structurée et pas toujours tendre...
- Emie Peralez Doctorante en géographie et aménagement de l'espace l’université de Montpellier
- Florian Guérin Post-doctorant en urbanisme à l’université de Reims Champagne Ardenne, maître assistant associé en sciences humaines et sociales à l’ENSA Paris Val de Seine.
Troisième épisode de notre série sur l’économie de la nuit, aujourd’hui, on vous emmène faire la tournée des bars.
C’était il y a tout juste dix ans : une pétition intitulée « Paris : quand la nuit meurt en silence » dressait le portrait d’une capitale désertée par les noctambules. La ville lumière faisait pâle figure face aux métropoles de la fête européenne : Londres et Berlin avaient en effet réussi à faire des soirées underground un puissant argument touristique. Si aujourd’hui la nuit parisienne a repris des couleurs, l’économie de la fête continue de se transformer dans l’hexagone. Les boites de nuit disparaissent les unes après les autres et c’est un nouveau monde de la nuit qui se fait jour…
Références sonores :
- "Samedi soir en province", documentaire de Gazoil et Jean-Michel Destang (1995)
- Documentaire "Les Années Palace" de Chantal Lacbats (2005)
- Extrait du film "La Chasse", réalisé par William Friedkin (1980)
- Extrait du film "Gatsby le magnifique", realisé par Baz Luhrmann (2013)
- Lecture d'un extrait du livre "Paname Underground" de Zarca, lu par Antoine Beauchamp
Références musicales :
- "Date with the night" / Yeah Yeah Yeahs
- Générique : "Time is the enemy" / Quantic
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