

Le début d'une longue histoire
“Mon juge…” Ce puissant monologue, Georges Simenon l’a porté pendant douze mois. Il avoue l’avoir écrit pour se débarrasser de ses fantômes, pour ne pas accomplir le geste de son héros, pour ne pas tuer. Aussi ne pouvait-il l’écrire qu’à la première personne : à la troisième, cela n’aurait pas été du tout. Le narrateur, c’est l’auteur. L’empathie est totale. De quoi illustrer plus que jamais sa fameuse devise : comprendre et ne pas juger. Et puis quoi, s’il avait pris ses distances avec cette victime si coupable, il aurait craint qu’à chaque remarque, le lecteur lui demande : mais comment le savez-vous ?" Pierre Assouline
Adaptation : Pierre Assouline Réalisation : Laurence Courtois Conseillère littéraire Caroline Ouazana
Avec les comédiens de la Comédie Française
- Claude Mathieu, la mère,
- Christian Blanc, le président du tribunal
- Alexandre Pavloff, Charles Alavoine, le narrateur
Rebecca Marder, la jeune patiente

Et les voix de
Jean Rieffel, le juge d’instruction
Norbert Ferrer, le vieil avocat
Laurent Claret, Maître Gabriel
Pénélope Avril, Justine, la femme de ménage
Et Nathalie Kanoui, Aurélia Petit, Emilie Chertier, Raphaël Goldman, Matyas Simon, Didier Merigou, Louis-Marie Audubert, Elodie Vincent , Fred Munoz , Marion Billy, Marianna Granci, Théo Combis-Lemaître et Sidonie Laurens.
Bruitage : Patrick Martinache

Prise de son, montage, mixage : Eric Boisset, Emmanuel Armaing
Assistante à la réalisation : Alice Kachaner
Lettre à mon juge est publié aux Presses de la Cité.
Remerciements à Louis Gauthier
L'équipe
- Conseiller(e) littéraire
- Collaboration