Au pays des Oreillons : épisode 3/7 du podcast "Candide ou l’Optimisme" de Voltaire

Candide ou Optimisme, 1759, illustration pour l'édition de 1785 du conte philosophique de Voltaire (1694-1778). Paris, Bibliothèque Nationale De France
Candide ou Optimisme, 1759, illustration pour l'édition de 1785 du conte philosophique de Voltaire (1694-1778). Paris, Bibliothèque Nationale De France  ©Getty - DEA PICTURE LIBRARY
Candide ou Optimisme, 1759, illustration pour l'édition de 1785 du conte philosophique de Voltaire (1694-1778). Paris, Bibliothèque Nationale De France ©Getty - DEA PICTURE LIBRARY
Candide ou Optimisme, 1759, illustration pour l'édition de 1785 du conte philosophique de Voltaire (1694-1778). Paris, Bibliothèque Nationale De France ©Getty - DEA PICTURE LIBRARY
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Après avoir vu mourir Jacques, son protecteur, dans un naufrage puis Pangloss, son vieux maître, dans un autodafé, Candide erre dans les rues de Lisbonne, désespéré, le postérieur meurtri par les fessées reçues.

C’est alors qu’une vieille femme vient à son secours. Elle soigne ses blessures puis l’emmène chez sa maîtresse qui n'est autre que Mlle Cunégonde. Ayant réchappé à une succession de malheurs, celle-ci est contre toute attente bien en vie, mais elle est l’esclave de deux hommes qui se partagent son temps : le Juif don Issacar et le Grand Inquisiteur de la ville. Alors que Candide et Cunégonde savourent leurs retrouvailles, ils sont surpris par l’un puis par l’autre et, dans un mouvement de panique, Candide les pourfend successivement de son épée. Il faut désormais fuir le Portugal au plus vite ! Les voilà tous les trois - la vieille, Cunégonde et Candide - embarqués sur un bateau en direction du nouveau monde. Au cours de la traversée, la vieille, qui est en réalité la fille d’un pape et d’une princesse, conte aux jeunes gens la longue suite de sévices qu’a été sa vie. Nous l’avons laissée au moment où, ayant assisté au massacre de sa mère et de leurs compagnons, elle se traîne sous un oranger voisin, y tombe mi-assoupie mi-évanouie, lorsqu’elle sent quelque chose s’agiter sur son corps. 

Réalisation: Cédric Aussir
Adaptation: Laure Egoroff
Conseillère littéraire: Emmanuelle Chevrière Avec : Jacques Gamblin, Sylvain Levitte, Catherine Salviat, Pauline Clément, Stéphane Valensi, Camille Pélicier, Abel Aboualiten, Manuel Lelièvre, Jean-Baptiste Artigas, Thomas Poitevin, Pauline Moulène, Léonie Pingeot, Grégoire Lagrange
Création musicale: Pascal Sangla
Bruitage: Bertrand Amiel
Prise de son, montage, mixage: Claude Niort, Valentin Azan-Zielinsky
Assistante à la réalisation: Justine Dibling 

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