Ne me quitte pas.

The Apollo Théâtre (Fameux club de Jazz), Harlem
The Apollo Théâtre (Fameux club de Jazz), Harlem ©Getty - Eric Schwab
The Apollo Théâtre (Fameux club de Jazz), Harlem ©Getty - Eric Schwab
The Apollo Théâtre (Fameux club de Jazz), Harlem ©Getty - Eric Schwab
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Je vous parle là de novembre 1961. C'était la nuit de mon troisième meurtre. Je n'avais aucun regret d'avoir tranché la gorge à Charlie l'Antillais en 1940. Aucun regret non plus d'avoir jeté Piwi du toit de son club il y a un an. Mais ce soir…ce que j'avais fait…ce soir c'était différent.

Viper’s Dream (ou Le Rêve de la Vipère) est un drame policier qui a pour décor le monde du jazz à Harlem entre 1936 et 1961. Le récit de la vie de Clyde Morton, surnommé The Viper,  un gangster Afro-Américain, ressemble à un roman noir épique, mais écrit pour la radio et baigné dans la musique. On y croise notamment Duke Ellington, Thelonious Monk et Charlie Parker dans la grande maison de la baronne Pannonica de Koenigswater qui, au milieu d’une centaine de chats (la maison fut baptisée Cathouse par les habitués), soutient les jazzmen et les accueille nuit et jour sur les bords de l’Hudson. Jazz donc, mais aussi meurtres, drogues, flics et truands traversent ce feuilleton à un rythme effréné.
Réalisation : Laurence Courtois
Conseillère littéraire : Emmanuelle Chevrière Avec :  Tony Harrisson, Ludmilla Dabo, Cyril Guéi, Makita Samba, Josué Ndofusu, Charif Ghattas, Florent Cheippe, Claire Pradalié Et les musiciens : Edouard Pennes, David Grebil, Malo Mazurié, Bastien Brison Merci à Antoine Vuilloz pour la documentation musicale
Bruitage : Sophie Bissantz Prise de son, montage et mixage : Eric Boisset, Pierre Henry Assistante à la réalisation : Manon Dubus