There’s danger in your eyes, chérie.

John Coltrane, en 1955
John Coltrane, en 1955 ©Getty - Michael Ochs Archives
John Coltrane, en 1955 ©Getty - Michael Ochs Archives
John Coltrane, en 1955 ©Getty - Michael Ochs Archives
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Je vous parle là de novembre 1945, la première fois que j'ai revu Yolanda après quatre ans de guerre. Elle était là, en peignoir, dans la cuisine de l'appart où elle vivait avec son mari, Pretty Paul Baxter.

Viper’s Dream (ou Le Rêve de la Vipère) est un drame policier qui a pour décor le monde du jazz à Harlem entre 1936 et 1961. Le récit de la vie de Clyde Morton, surnommé The Viper,  un gangster Afro-Américain, ressemble à un roman noir épique, mais écrit pour la radio et baigné dans la musique. On y croise notamment Duke Ellington, Thelonious Monk et Charlie Parker dans la grande maison de la baronne Pannonica de Koenigswater qui, au milieu d’une centaine de chats (la maison fut baptisée Cathouse par les habitués), soutient les jazzmen et les accueille nuit et jour sur les bords de l’Hudson. Jazz donc, mais aussi meurtres, drogues, flics et truands traversent ce feuilleton à un rythme effréné.

Conseillère littéraire : Emmanuelle Chevrière
Réalisation : Laurence Courtois
Avec :
Tony Harrisson, Ludmilla Dabo, Assane Timbo, Cyril Guéi, Mexianu Medenou, Edouard Montoute, Laurent Natrella
Et les voix de : Dorylia Calmel,  Johann Proust, Mohand Azzoug, Chloé Baker, Julie Quesnay, Cécile Arnaud, Matyas Simon, Louis Huster, Nina Nkundwa, Florent Oullié, Tamar Baruch, Jean-Charles Delaume, Swan Demarsan, Claire Bouanich, Louis Helle
Et les musiciens : Edouard Pennes, David Grebil, Malo Mazurié, Bastien Brison
Merci à Antoine Vuilloz pour la documentation musicale
Bruitage : Sophie Bissantz
Prise de son, montage et mixage : Eric Boisset, Pierre Henry
Assistante à la réalisation : Manon Dubus

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