"Rebecca" de Daphné du Maurier

Daphné du Maurier
Daphné du Maurier ©Maxppp - 026207
Daphné du Maurier ©Maxppp - 026207
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"Angleterre, début du XXe siècle, Maximilien de Winter, propriétaire du domaine de Manderley est veuf depuis que son épouse Rebecca s’est noyée. Séjournant à Monaco, il y rencontre une jeune femme de chambre, timide et peu sûre d’elle. La courtisant, il décide de l’épouser"

Un manoir majestueux : Manderley. Un an après sa mort, le charme noir de l'ancienne propriétaire, Rebecca de Winter, hante encore le domaine et ses habitants. La nouvelle épouse, jeune et timide, de Maxim de Winter pourra-t-elle échapper à cette ombre, à son souvenir ? Immortalisé au cinéma par Hitchcock en 1940, le chef-d'œuvre de Daphné du Maurier a fasciné plus de trente millions de lecteurs à travers le monde.

Présentation du Livre de poche.

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Cinéaste, metteur en scène, acteur, Orson Welles fut aussi un homme de radio. On connaît sa célèbre phrase « À la radio, l’écran est plus grand ». Avec Rebecca, nous proposons une nouvelle vision de cette œuvre radiophonique qui inaugura le 9 décembre 1938 The Campbell Playhouse, le programme radiophonique d’Orson Welles sur la CBS. Cédric Aussir a repris le scénario de Welles, et Didier Benetti a composé comme pour un film, recréant cette atmosphère onirique, somnambulique si particulière à l’œuvre de Daphné du Maurier. Compositeur et réalisateur ont travaillé étroitement ensemble pour cette nouvelle création.

« Au-delà de son intrigue amoureuse, Rebecca reste célèbre pour avoir fait de son héroïne éponyme non seulement la figure centrale, mais surtout la grande absente de ce thriller aux accents gothiques. Rebecca hante littéralement les murs de Manderley où ses habitudes lui survivent et s’imposent – comme son nom – à la nouvelle Mme de Winter. J’ai voulu qu’on entende cette omniprésente absente, qu’on la guette derrière les non-dits et les silences, aussi bien que dans certaines phrases des personnages où elle s’immisce… Mais c’est davantage grâce à la présence incorporelle de la musique que la fascinante Rebecca se manifeste dans ce récit sans cesse aux prises avec la réalité. » 

Cédric Aussir

Texte original de l'émission d**'Orson Welles** Adapté par Howard Koch d'après le roman de Daphné du Maurier Traduit de l’américain par Sophie Brissaud Réalisation : Cédric Aussir Avec l'Orchestre National de France
Musique originale et direction d’orchestre : Didier Benetti Conseillères littéraires Caroline Ouazana et Emmanuelle Chevrière   Didier Benetti, Compositeur et chef d'orchestre

Avec :

**Melissa Barbaud (**Elle), **Edith Scob (**Madame Van Hopper), **Emmanuel Salinger (**Maxim de Winter), **Dominique Reymond (**Mme Danvers), **Stéphane Valensi (**Ben), **Maurice Antoni (**Firth), **Jean-Claude Durand (**Capitaine Searle ), **Dominique Daguier (**Docteur Baker), **Christian Cloarec (**Coroner), **Laurent D'Olce (**Franck Crawley), **Aurélien Osinski (**Voix 1), **Norbert Ferrer (**Voix 2)

Bruitage Elodie Fiat Musicien Metteur en onde : Paul Malinovski, Elsa Biston. Directeur du son : Pierre Monteil Prise de son et mixage : Stéphane Desmons assisté de Jean-Benoit Etchepareborde, Clotilde Tomas, Matthieu Le Roux. Sonorisation : Philippe Merscher, Jean-Benoît Tétû, Guillaume Le Dû Assistante à la réalisation Lise-Marie Barré

"Une coproduction Orchestre National de France et France Culture - service des fictions"

Publié chez Phonurgia Nova Editions

Enregistrée le 08 octobre 2016 au studio 104, de la Maison de la radio

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