Sourire en coin, Barrie nous dévoile quelques-uns des secrets de sa psyché, nous permettant de comprendre à quel point l'homme fut inséparable de son œuvre
Traduction, choix d’extraits et introduction : Céline-Albin Faivre
Réalisation : Benjamin Abitan
Conseillère littéraire Caroline Ouazana
Les textes sont extraits de Le Chapeau de Greenwood, Mémoires de James Anon 1885-1887 de James Matthew Barrie
À soixante-dix ans, Barrie se met soudain à écrire ses mémoires. Ils sont à son image : décalés et humoristiques, l'émotion suintant entre les interstices du texte. Le Mot le plus triste est un extrait de cette œuvre étrange intitulée Le Chapeau de Greenwood. Cette autobiographie secrète sera d'abord publiée à titre privé, dans le cercle très restreint de ses intimes, puis révélée au monde entier, après sa mort, par l'un de ses fils adoptifs. Ce livre est le dialogue tenu entre Barrie, qui n'a alors plus que 7 ans à vivre, et le jeune homme qu'il fut, entre 25 et 27 ans. Dans ce livre à deux voix, en quelque sorte, Barrie nous dévoile, sourire en coin, quelques-uns des secrets de sa psyché. Il nous permet de comprendre à quel point l'homme fut inséparable de son œuvre.
Dit par Claude Aufaure et Céline Milliat Baumgartner
Prise de son, montage et mixage : Guillaume Ledû et Nicolas Slimani
Assistant à la réalisation : Félix Levacher
L'équipe
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