La guerre en Ukraine est (aussi) une guerre de communication

La rédactrice en chef de Channel One, Marina Ovsyannikova, tenant une affiche "Arrêtez la guerre" pendant le journal télévisé, le 14 mars 2022.
La rédactrice en chef de Channel One, Marina Ovsyannikova, tenant une affiche "Arrêtez la guerre" pendant le journal télévisé, le 14 mars 2022. ©AFP
La rédactrice en chef de Channel One, Marina Ovsyannikova, tenant une affiche "Arrêtez la guerre" pendant le journal télévisé, le 14 mars 2022. ©AFP
La rédactrice en chef de Channel One, Marina Ovsyannikova, tenant une affiche "Arrêtez la guerre" pendant le journal télévisé, le 14 mars 2022. ©AFP
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Au 20e jour de guerre, Kiev est désormais placée sous couvre-feu, jusqu’à jeudi matin.

Aujourd’hui, les habitants se sont rués dans les supermarchés encore ouverts pour faire des provisions.

Pendant ce temps-là, à Moscou, une salariée de la chaîne Pervi Kanal a interrompu hier soir le journal télévisé, avec une pancarte dénonçant la guerre et la propagande russe. Car cette guerre est aussi une guerre de communication, d’images et d’influence.

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Depuis la Pologne, des pirates informatiques se sont organisés pour envoyer des SMS à des millions de citoyens russes.

Enfin, sur le plan militaire, le port de Marioupol (dans le sud-est du pays) est toujours sous le feu russe. Les témoignages directs issus de cette ville sont rares. Mais une ukrainienne raconte ce qu’elle a vécu là-bas, et ce que subit encore sa famille restée sur place.

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