On ne peut pas faire de poèmes vraiment utiles, ni d’incantation opérante contre Donald Trump… attendre des miracles de la démocratie, difficile. Mais il faut veiller, garder une espérance d’indien.
On sent que Gianoni l’indien de Breizh lorsqu’il se met au diapason des éléments, y assume un bilan carbone irréprochable. La poésie n’est pas dispensée à la fin ! Ce serait un peu commode d’arpenter ces plages, ces landes et ces paysages avec une aisance de jet-setteur, aux allers retours inconsidérés…. (silence géné). Associé à ces combats naturels, nous irions bien moquer certains chantres de l’Himalaya grandiose, amateurs classe affaire des musiques rituelles de l’Inde. Poètes spectateurs, routards sur l’or, auxquels il convient mal de parler de pauvreté, d’Arthur et de Villon. J’en connais. La barque des poètes-voyageurs est en feu et nous laissons Trump à la lance incendie. Notre seul espoir est Donald, s'ils ignorent superbement leur empreinte. Avec lui la catastrophe est un running gag. Tous à l’eau !
Ce sable, cette eau, ces rochers et ce ciel Ton fils viendra peut-être Jouer ici
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Mauvaise langue comme nous le sommes, nous terminons avec le paisible Paul Valéry pour un mot-valise : le Bouchoreille parle de la poésie sans prendre le train. C’est Jean-Michel Maulpois qui nous y invite dans ses "cent mots pour la poésie ».. Que sais-je ?
Extrait de:
Domo de Poezia de Laurence Vielle éditions MaelstrÖm
Garder le mort de Jean-Louis Giovannoni. Editions
Unes les 100 mots de la poésie de Jean Michel Maulpoix édition Que sais-je
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