l’avion Guillaume : épisode 1/4 du podcast Apollinaire : un train d’avance

Guillaume Apollinaire
Guillaume Apollinaire ©Getty - Max Jacob / API / Contributeur
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C’est très logiquement "sa semaine", presque cent ans après sa mort. Comment saisir les longs poèmes de Guillaume Apollinaire, que cachent-ils dans leur profusion ? Quelles énigmes effacées, quelle source ésotérique en nourrit les images ?

Avec

Impossible dans nos trois minutes de contenir la lecture des grands poèmes d’Apollinaire et puis (acceptons la nature rebelle d’une telle affirmation) en valent-ils aujourd’hui la peine ? Les premiers mots de Vendémiaire venaient à nous, dans cette invitation automnale directement poétique, c’est à dire immédiatement chantante

Que Paris était beau à la fin de septembre

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Chaque nuit devenait une vigne où les pampres

Répandaient leur clarté sur la ville et là-haut

Extrait de Œuvres poétiques complètes d'Apollinaire Édition Pléiade Gallimard