

Virginie Despentes ©Getty - Sophie Bassouls
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Elle écrit des best-sellers au scalpel, traversés de fulgurances. Les filles qui ont lu son "King Kong théorie" l’ont immédiatement adopté comme la bible d’un féminisme décomplexé. Entretien avec l'écrivaine Virginie Despentes.
Elle écrit des best-sellers au scalpel, traversés de fulgurances. Les filles qui ont lu son "King Kong théorie" - parfois avant d'avoir lu Beauvoir - l’ont immédiatement adopté comme la bible d’un féminisme décomplexé. Elle est assurément l’une des voix les plus puissantes du roman français. Cette fille au regard clair, tatouée et vraie gentille, est une écorchée douce.
"Je ne serais pas arrivée là si..." Si je n’avais pas arrêté de boire à 30 ans. L’alcool a probablement été l’une des défonces les plus intéressantes et les plus importantes de ma vie, mais je n’aurais pas pu écrire "King Kong théorie" et tous mes derniers livres si je n’avais pas arrêté.
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