

Réélu avec de plus de 52 % dès le premier tour, le président de la République de Turquie disposera de prérogatives renforcées.
Recep Tayyip Erdogan a revendiqué dès hier soir sa victoire personnelle à l'élection présidentielle en Turquie et celle de son parti AKP aux élections législatives au terme du plus grand défi électoral qu'il ait eu à relever en quinze années de pouvoir.
Correspondance de Nathanaël Charbonnier
Analyse d'Eric Biegala
Les autres titres de ce journal
Un nouveau navire au large de Malte avec 239 migrants à son bord sans pouvoir accéder aux ports italiens et maltais.
Précisions de Clarence Rodriguez
Pendant ce temps, le ministre italien de l'Intérieur, Matteo Salvini, est parti pour la Libye, où il doit rencontrer les autorités du pays.
Explications de Mathilde Imberty
Sur le plan européen, les distensions restent fortes. Emmanuel Macron et Angela Merkel ont appelé hier à des accords à plusieurs pays sur les défis migratoires. Les quatre pays du groupe dit de Visegrad (Hongrie, Pologne, République tchèque et Slovaquie) avaient la réunion d'"inacceptable".
Commentaire de Marie-Pierre Vérot
Le président nationaliste de l'Assemblée de Corse Jean-Guy Talamoni refuse de rencontrer comme prévu le Premier ministre le 2 juillet prochain. Il dénonce le "mépris" du gouvernement.
Analyse de Ludovic Piedtenu
Le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb salue ce matin l'interpellation samedi soir par la DGSI de dix personnes "liées selon lui à l'ultra-droite et soupçonnées de préparer un passage à l'acte". Le groupe, qui se faisait appeler AFO pour "action des forces opérationnelles", avait commencé à faire des repérages autour de plusieurs mosquées.
Enquête de Florence Sturm
Pour évoquer le passage ce dimanche de la limitation de vitesse de 90 à 80 km/h sur les routes, l'invité de la séquence interview est Claude Got, Président de l'association pour l'interdiction des véhicules inutilement rapides. (APIVIR)
Il faut bien voir l'étendue de la désinformation qui a été développée et qui a finalement provoqué cette réaction d'une partie, majoritaire actuellement, de la population. La première désinformation est de dire que ce sont des gens, les centraux dans les grandes agglomérations en gros, qui imposent une gêne pour les gens qui sont dans des zones rurales. C'est exactement l'inverse de la réalité. Il suffit d'aller à Paris dans la journée pour se rendre compte que le temps perdu est dans les grandes agglomérations. Et que les départements de faible densité de population n'ont pas ces problèmes.


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