Alliance LREM-LR en PACA pour les régionales : "Un manque de clarté" du côté de la direction des Républicains selon le politologue Pascal Perrineau

Sur Twitter, Renaud Muselier répète pourtant ce dimanche être candidat "sans accord d'appareils, sans alliance ni fusion".
Sur Twitter, Renaud Muselier répète pourtant ce dimanche être candidat "sans accord d'appareils, sans alliance ni fusion".  ©Maxppp - Frank Muller
Sur Twitter, Renaud Muselier répète pourtant ce dimanche être candidat "sans accord d'appareils, sans alliance ni fusion". ©Maxppp - Frank Muller
Sur Twitter, Renaud Muselier répète pourtant ce dimanche être candidat "sans accord d'appareils, sans alliance ni fusion". ©Maxppp - Frank Muller
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Des réactions en chaîne, après l'annonce d'une alliance pour les régionales entre la République en Marche et Renaud Muselier, le président LR de Provence-Alpes-Côte-d'Azur. Une alliance qui met le feu aux poudres chez les Républicains, notamment parce que la présidentielle n'est pas très loin.

"Une erreur", "Un coup de poignard dans le dos", "un accord irresponsable" : les réactions chez Les Républicains et à droite en général se multiplient après l'annonce en PACA d'une désormais très probable alliance entre La République en Marche et le président LR sortant de la région, Renaud Muselier, en vue des régionales de juin prochain. Une annonce faite par le premier ministre Jean Castex dans le Journal du Dimanche aujourd'hui. De quoi provoquer la colère du patron des Républicains Christian Jacob qui a immédiatement fait savoir qu'il retirait à Renaud Muselier l'investiture du parti pour ces régionales. Doit-on y voit un désaveu pour les Républicains ?  Selon le politologue Pascal Perrineau, ce type d'alliance n'a rien de nouveau ou de surprenant mais le contexte et le calendrier sont clairement à prendre en compte

Les autres titres du journal 

Une enquête ouverte par le parquet de Paris, et confiée à la sûreté nationale après les violences ayant visé la CGT en marge de la manifestation du 1er mai. Le syndicat déplore 21 blessés parmi ses militants dont 4 dans un état grave. Les explications d'Emmanuel Leclere. 

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Trois mois après le coup d'état militaire en Birmanie et malgré la répression meurtrière qui ne faiblit pas, de nouvelles manifestations dans plusieurs villes ce dimanche. Certains appellent à un "printemps révolutionnaire", tandis qu'une puissante faction rebelle de l'est du pays appelle d'autres groupes insurgés à l'unité face à la junte.

En Inde, c'est un camouflet à l'échelle nationale pour le parti au pouvoir de Narendra Modi, au Bengale-Occidental, après des élections législatives remportées par l'opposition, qui garde son fief. Le Premier ministre avait pourtant tout fait pour la détrôner, lors d'un scrutin organisé en pleine flambée de coronavirus. Les précisions de notre correspondant Côme Bastin. 

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