"On veut me diaboliser, on veut me faire taire", déclare Eric Zemmour. Le candidat du parti Reconquête! dénonce une "justice politique" après sa condamnation pour "complicité de provocation à la haine".
Le candidat à la présidentielle Eric Zemmour est condamné par la justice pour "complicité d'injures à caractère racial" et "complicité de provocation à la haine à caractère racial". En 2020, sur la chaîne CNews, le polémiste avait parlé des mineurs migrants isolés comme de "voleurs", "assassins" et "violeurs". C'est "une invasion permanente", avait il alors déclaré. Des propos qui lui valent 10 000 euros d'amende. Ce week-end, le candidat du parti "Reconquête" s'était efforcé de rectifier le tir après ses déclarations sur la scolarisation des enfants handicapés, il assurait avoir été mal compris. Sur les mineurs isolés, à l'inverse, Il assume ses propos. Eric Zemmour dénonce sa condamnation et va faire appel.
L'ancien président ukrainien Petro Porochenko de retour dans son pays, où il est poursuivi pour des infractions financières. Le parquet réclame son arrestation, ou le paiement d'une caution de 30 millions d'euros. Nous irons à Kiev.
Tractations politiques en Irak. Le grand vainqueur des élections Moqtada Sadr voudrait former un gouvernement de majorité, dirigé par son parti et ses alliés au Parlement. Mais les autres partis y sont opposés et ce bras de fer pourrait déstabiliser le pays, nous dira Lucille Wasserman.
Des vêtements mis au rebut transformés en une matière première innovante. Dans la chronique "Demain l'éco", zoom sur une entreprise qui transforme les déchets textiles en briques.
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