1er mai: plusieurs syndicats mobilisés contre Marine Le Pen refusent de se ranger derrière Emmanuel Macron

1er mai: la principale manifestation parisienne a rassemblé 30 000 personnes selon la police, 80 000 d'après la CGT
1er mai: la principale manifestation parisienne a rassemblé 30 000 personnes selon la police, 80 000 d'après la CGT ©AFP - CITIZENSIDE / PASCAL VANDON / CITIZENSIDE
1er mai: la principale manifestation parisienne a rassemblé 30 000 personnes selon la police, 80 000 d'après la CGT ©AFP - CITIZENSIDE / PASCAL VANDON / CITIZENSIDE
1er mai: la principale manifestation parisienne a rassemblé 30 000 personnes selon la police, 80 000 d'après la CGT ©AFP - CITIZENSIDE / PASCAL VANDON / CITIZENSIDE
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142 000 manifestants dans toute la France selon le ministère de l'intérieur, 280 000 pour la CGT, ce 1er mai 2017 a connu une mobilisation significative à six jours du deuxième tour de la présidentielle. Objectif, faire barrage au Front national, mais le vote Macron ne fait pas l'unanimité.

Avec

Dans ce journal, le reportage d'Annabelle Grelier dans le cortège parisien, et le commentaire de notre invité, Bernard Vivier, directeur de l'Institut Supérieur du Travail. Nous reviendrons notamment sur le refus de la plupart des syndicats d'appeler à voter Emmanuel Macron. Derrière le rejet du Front national, il y a déjà la volonté de se mobiliser contre l'ancien ministre de l'économie s'il était élu.

Bernard Vivier, directeur de l'Institut Supérieur du Travail
Bernard Vivier, directeur de l'Institut Supérieur du Travail
© Radio France - Nathalie Lopes

Pour Bernard Vivier, les syndicats lancent un avertissement à Emmanuel Macron

8 min

Dans cette édition également, les dernières prises de parole de Marine Le Pen et Emmanuel Macron. La candidate du FN propose un fonds souverain pour aider les entreprises françaises en difficulté, alors que son rival d'En Marche dénonce "l'obscénité" du FN. Nous les écouterons.

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