Légende du rock, Tina Turner est morte à 83 ans

C'est l'une des plus grandes voix du rock et de la soul qui s'est éteinte ce soir à l'âge de 83 ans. Tina Turner est morte "paisiblement" en Suisse selon son agent. Elle souffrait d'un cancer de l'intestin depuis 2016.
Tina Turner avait lancé sa carrière dans les années 60 avec son mari pour former le célèbre duo "Ike and Tina Turner". Après son divorce en 1978, elle avait connu une traversée du désert avant de rebondir en 1984 avec son premier album solo, "Private Dancer". Le début d'une résurrection musicale marquée par une succession de tubes, "What's Love Got To Do With It", "Simply the best", "We don't need another hero"...  Dans son autobiographie paru en 1986, Tina Turner avait raconté l'enfer de son mariage avec Ike Turner, un mari violent et toxicomane.

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L'homme qui a tué une infirmière lundi au CHU de Reims a été mis en examen et incarcéré ce soir, pour assassinat et tentative d'assassinat, car il avait aussi gravement blessé une secrétaire médicale.
Ce Rémois de 59 ans a de lourds antécédents psychiatriques. Lundi soir, il a poignardé à mort Carène Mezino, une mère de famille de 37 ans. Il en voulait aux blouses blanches, a-t-il expliqué lors de sa garde à vue.
Cet assassinat a suscité une immense émotion dans le milieu hospitalier et bien au-delà : les personnels soignants ont observé aujourd'hui une minute de silence dans tous les hôpitaux de France. Et le gouvernement promet des mesures pour renforcer la sécurité et mieux former les soignants à la gestion de l'agressivité. Un rapport doit être remis le 1er juin à la ministre déléguée à la santé Agnès Firmin Le Bodo.
Invitée de ce journal, la sociologue Déborah Ridel, ingénieure de recherche à l'École des Hautes Études en Santé Publique. Déborah Ridel a consacré en 2021 sa thèse de sociologie à la violence en milieu hospitalier. Pour Déborah Ridel, la réponse à cette violence ne peut être uniquement sécuritaire, car l'hôpital est par définition un lieu ouvert et hospitalier.

Environ 2000 personnes ont manifesté aujourd'hui à Saint-Brevin-les-Pins leur soutien au maire démissionnaire Yannick Morez.
Cette station balnéaire de Loire-Atlantique est devenue le symbole des violences contre les élus après l'incendie contre le domicile du maire fin mars. A l'origine des tensions, un projet de centre d'accueil de demandeurs d'asile contesté par une partie de la population et par l'extrême droite.
La marche de ce soir était organisée par la gauche, et Yannick Morez, classé divers droite, n'a pas voulu y participer, critiquant une opération de récupération politique.

C'est un nouveau front qui s'ouvre pour la Russie. Les incursions en territoire russe semblent s'accélérer depuis le début de la semaine. Lundi, plusieurs dizaines de combattants venus d'Ukraine ont attaqué trois villages dans la région de Belgorod. Il aura fallu 24 heures à Moscou pour affirmer que ces combattants avaient été éliminés.
Une autre opération sur le sol russe a été lancée aujourd'hui, cette fois dans la région de Koursk, à une centaine de kilomètres au nord de Belgorod.