

Au moins six femmes, dont une mineure au moment des faits, accusent l'ex-animateur et ancien ministre de viol ou d'agressions sexuelles commis entre 1989 et 2001.
- Jean-Daniel Lelièvre Chef du service d'immunologie clinique du CHU Henri-Mondor à Créteil
Nicolas Hulot est visé par une enquête préliminaire pour viol et agressions sexuelles ouverte cet après-midi à la suite de la diffusion d'un reportage de France 2 mettant en cause l'ancien ministre. Pour l'instant, on sait qu'au moins six femmes, dont une qui étaient mineure au moment des faits, formulent des accusations à l'encontre de l'ex-animateur et ancien ministre de viols ou d'agressions sexuelles... Les faits remontraient à une période allant de 1989 à 2001.
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"Omicron" est le nouveau variant du Covid-19 qui suscite l'inquiétude un peu partout dans le monde. L'Organisation Mondiale de la Santé décide de classer "Omicron" comme un variant "préoccupant".
En France, la Haute autorité de santé doit bientôt se prononcer sur la recommandation est positive, mais le gouvernement pourrait ouvrir de manière facultative la vaccination aux 5-11 ans. Pour répondre à nos questions, le Professeur Jean-Daniel Lelièvre, chef du service des maladies infectieuses à l’Hôpital Henri Mondor de Créteil et spécialiste de la vaccination est l'invité de ce journal.
Jean-Daniel Lelièvre, expert à la Haute Autorité de santé et immunologue spécialiste des vaccins : "Il y a deux manières de voir la vaccination des enfants."
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Savoir si vacciner cette population des 5-11 ans a un impact direct sur l'ensemble de la pandémie est une des interrogations en cours, c'est peut-être même la question-clé. Si c'est le cas, il faudra prendre la décision de vacciner largement cette population, mais nous n'avons pas à l'heure actuelle des données. Elles font l'objet de modélisations en France et dans d'autres pays. Il va être important d'avoir ces modélisations pour pouvoir se positionner. (...) Il y a deux manières de voir la vaccination des enfants. Il y a la vaccination qui, dans un certain sens sans doute, ne posera pas de problème : celle de la vaccination des enfants qui ont les risques de faire des formes graves de la maladie. Là, il n'y a pas tellement de discussion à mon sens. Et puis, il y a la vaccination plus large de l'ensemble des enfants qui pourrait avoir un impact en termes de santé publique, qui aura sans doute un impact beaucoup plus faible en terme individuel. Tout cela nécessite forcément d'avoir tous les éléments en notre disposition, les éléments d'ordre épidémique en termes de santé publique, en termes de tolérance de ce vaccin et en termes d'acceptabilité. Parce que c'est aussi un point important pour cette population afin de nous positionner sur cette décision importante.
Rien ne va plus entre l'Angleterre et la France... Après une lettre adressée à Emmanuel Macron jeudi, le premier ministre britannique Boris Johnson suggère que tous les migrants arrivés clandestinement en Angleterre soient renvoyés vers la France. L’Élysée dénonce une "agression".
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