Les troupes russes n'avancent plus, Joe Biden met en garde Vladimir Poutine

Cela fait un mois aujourd'hui que Vladimir Poutine a lancé l'invasion de l'Ukraine. Et le maître du Kremlin n'a pas atteint son objectif, prendre le contrôle du pays pour le dénazifier selon ses propres mots. Sur tous les fronts, les troupes russes n'arrivent pas à percer les lignes ukrainiennes. Les manœuvres d'encerclement de Kiev et de Kharkiv ont échoué pour l'instant. Et par endroits, ce sont même les soldats ukrainiens qui reprennent l'initiative. Autour de Kiev, l'offensive russe semble avoir été stoppée. 

Face au président russe, les Occidentaux continuent à afficher un soutien unanime. Nouvelle démonstration aujourd'hui à Bruxelles lors du sommet de l'OTAN. L'occasion pour Joe Biden d'adresser une double mise en garde à Vladimir Poutine et à son homologue chinois Xi Jinping. 

Dans la foulée du sommet de l'OTAN, toujours à Bruxelles, se tient ce soir un sommet européen. Et là aussi, les 27 Etats membres de l'UE tiennent à afficher une unité sans faille face à Vladimir Poutine. L'Union européenne réfléchit à de nouvelles sanctions contre le régime russe. Avec une contrainte toutefois, les Européens reste largement dépendants de la Russie pour leurs approvisionnements énergétiques. 

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Le rebond épidémique se confirme en France. 148 635 nouveaux cas de Covid dans les dernières 24h, contre 101 747 il y a une semaine. En revanche, le nombre de patients Covid en soins critiques continue à baisser, 1523 ce jeudi 24 mars, contre 1695 jeudi dernier. Alors, faut-il redouter une nouvelle dégradation de la situation sanitaire ? Invité de ce journal, Frédéric Adnet, chef du service des urgences de l'hôpital Avicenne à Bobigny, directeur médical du SAMU de Seine-Saint-Denis. Pour Frédéric Adnet, on assiste bien à l'amorce d'une 6e vague en France, mais contrairement aux précédentes, elle ne se traduit pas pour l'instant par une forte hausse des hospitalisations. "La population en France est très largement immunisée", explique le médecin qui fait le point sur la situation dans son département, la Seine-Saint-Denis.

La campagne présidentielle, Jean-Luc Mélenchon croit en ses chances de qualification au deuxième tour. En dynamique dans les intentions de vote, il pointe désormais à la 3e place derrière Emmanuel Macron et Marine Le Pen.  A 17 jours du premier tour, les Insoumis veulent mobiliser les abstentionnistes, ils comptent aussi aller chercher des voix du côté du Rassemblement national.