Réforme des retraites : Emmanuel Macron s'en remet à Edouard Philippe

Un manifestant de la CFDT le 17 décembre à Toulouse. Le syndicat dirigé par Laurent Berger réclame le retrait de l'âge pivot à 64 ans pour toucher une retraite à taux plein.
Un manifestant de la CFDT le 17 décembre à Toulouse. Le syndicat dirigé par Laurent Berger réclame le retrait de l'âge pivot à 64 ans pour toucher une retraite à taux plein. ©AFP - FRÉDÉRIC SCHEIBER / HANS LUCAS
Un manifestant de la CFDT le 17 décembre à Toulouse. Le syndicat dirigé par Laurent Berger réclame le retrait de l'âge pivot à 64 ans pour toucher une retraite à taux plein. ©AFP - FRÉDÉRIC SCHEIBER / HANS LUCAS

Réforme des retraites : Emmanuel Macron s'en remet à Edouard Philippe

Mercredi 1 janvier 2020
Un manifestant de la CFDT le 17 décembre à Toulouse. Le syndicat dirigé par Laurent Berger réclame le retrait de l'âge pivot à 64 ans pour toucher une retraite à taux plein. ©AFP - FRÉDÉRIC SCHEIBER / HANS LUCAS
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Lors de ses vœux aux Français, le président a demandé à son Premier ministre de trouver un compromis pour sortir de la grève contre la réforme des retraites. Une ouverture en direction des syndicats réformistes mobilisés contre l'âge pivot à 64 ans, mais qui ne rejettent pas le système à points.

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La grève contre la réforme des retraites entrera demain dans son 29e jour. Soit le plus long conflit dans les transports depuis 1986. Hier soir, lors de ses voeux présidentiels, Emmanuel Macron a été très clair : la réforme sera menée à son terme. Mais il a eu aussi cette phrase à destination de son Premier ministre : "j'attends du gouvernement d'Edouard Philippe qu'il trouve la voie d'un compromis rapide". Dossier dans ce journal avec Julie Marie-Leconte et notre invité, Jean-François Cesarini, député LREM du Vaucluse. Avec une quinzaine de députés de l'aile gauche de la République en Marche, Jean-François Cesarini vient de signer une tribune demandant l'abandon de l'âge pivot à 64 ans pour la réforme des retraites. 

Pour Jean-François Cesarini, Emmanuel Macron a "entendu" les demandes de l'aile gauche de LREM

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