A la découverte de "Parcoursup", la plate-forme d'inscription dans l'enseignement supérieur qui succède à la très controversée "APB"

Les étudiants en France
Les étudiants en France ©AFP - SOPHIE RAMIS, THOMAS SAINT-CRICQ / AFP
Les étudiants en France ©AFP - SOPHIE RAMIS, THOMAS SAINT-CRICQ / AFP
Les étudiants en France ©AFP - SOPHIE RAMIS, THOMAS SAINT-CRICQ / AFP
Publicité

Avant de s'inscrire dans l'enseignement supérieur à partir de la semaine prochaine, les lycéens ont quelques jours pour se familiariser avec parcourssup.fr, la plate-forme en ligne qui succède à la très critiquée APB, enterrée cet automne, pour avoir laissé trop de jeunes sur le carreau.

C'est la rentrée de "Parcoursup" : La plate-forme d'inscription dans l'enseignement supérieur succède à la très controversée APB, au cœur du naufrage de l'orientation pour des milliers de bacheliers, encore l'an dernier. Les élèves de Terminale ne pourront s'inscrire et entrer leurs vœux sur la plate-forme qu'à partir de lundi prochain, mais dès 11h, ce matin, les lycéens pourront découvrir sur "Parcoursup" des filières universitaires, ainsi que les compétences et connaissances requises pour y accéder. Ce sont les fameux "attendus", imposés par la nouvelle loi sur l'accès à l'université. Précisions d'Hakim Kasmi.

Les autres titres du journal

Les syndicats pénitentiaires appellent à un "blocage total" des prisons lundi depuis 6h ce matin : La CGT pénitentiaire, FO pénitentiaire et l'UFAP - UNSA Justice réclament davantage de sécurité, une semaine après qu'un détenu islamiste a blessé trois surveillants,  à la maison centrale de Vendin-le-Vieil, dans le Pas-de-Calais.  Des conditions de travail dégradées, des agressions quotidiennes : c'est ce que dénonce Christopher Dorangeville, secrétaire général de la CGT-pénitentiaire.

Publicité

Un double attentat suicide a fait au moins 26 morts , ce matin, dans le centre de Bagdad : C'est la deuxième attaque de ce type dans la capitale irakienne en trois jours. Deux personnes auraient commis cette attaque, à un important carrefour commerçant de Bagdad, point de rassemblement pour les travailleurs journaliers  qui s'y postent tôt le matin pour trouver un employeur.

Les manifestations violentes contre la pauvreté, le chômage, la hausse des prix et la politique d’austérité ont repris, hier, en Tunisie : Des policiers ont tiré des gaz lacrymogènes pour disperser plusieurs dizaines de jeunes manifestants, dans les quartiers d'Ettadamen et de Kram à Tunis.  Jets de pierre contre les voitures de police,  pneus en feux, routes bloquées, aussi, à Feriana, près de la frontière algérienne.   Manifestations plus pacifiques hier après-midi,  alors que la Tunisie qui célébrait, hier, le 7e anniversaire de la révolution et de la chute de Ben Ali. Après plus d’une semaine de contestation, marquée par un mort et 800 interpellations, le gouvernement tunisien a tenté de jouer la carte de l’apaisement. Reportage de Yann Gallic.

La contestation sociale au Maroc et la réponse judiciaire : Ouverture d'un procès, aujourd'hui, visant 11 adolescents à Al Hoceïma, dans le nord du pays.  Le jeune âge des anciens manifestants et la sévérité de la réponse des autorités avaient suscité une forte émotion dans le pays,  notamment sur les réseaux sociaux. La crise dans le Rif marocain dure depuis plus d’un an maintenant.  Les arrestations et les condamnations se poursuivent aussi. Correspondance de Stéphanie Wenger.

L'équipe