Les Etats-Unis dans l'attente du premier débat entre Hillary Clinton et Donald Trump, même si la majorité des Américains n'aime ni l'un ni l'autre

Les Etats-Unis attendent avec impatience le premier débat télévisé entre la démocrate Hillary Clinton et le républicain Donald Trump, principaux candidats à la Maison Blanche
Les Etats-Unis attendent avec impatience le premier débat télévisé entre la démocrate Hillary Clinton et le républicain Donald Trump, principaux candidats à la Maison Blanche ©AFP - PAUL J. RICHARDS
Les Etats-Unis attendent avec impatience le premier débat télévisé entre la démocrate Hillary Clinton et le républicain Donald Trump, principaux candidats à la Maison Blanche ©AFP - PAUL J. RICHARDS
Les Etats-Unis attendent avec impatience le premier débat télévisé entre la démocrate Hillary Clinton et le républicain Donald Trump, principaux candidats à la Maison Blanche ©AFP - PAUL J. RICHARDS
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La pression monte aux Etats-Unis, avant le premier débat télévisé entre le républicain Donald Trump et la démocrate Hillary Clinton pour la présidentielle américaine. Audience record attendue, tant les deux candidats à la Maison Blanche sont clivants et au coude-à-coude dans les sondages.

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Enjeux du premier débat dans la course à la Maison Blanche : A six semaines de l'élection présidentielle du 8 novembre prochain, c'est un rendez-vous crucial qui attend Hillary Clinton et Donald Trump ce lundi. La démocrate et le républicain s'affronteront dans un premier débat télévisé. Il se déroulera à l'université d'Hofstra en banlieue de New-York. Les deux candidats seront côte-à-côte pendant une heure et demie pour parler de sécurité nationale et d'économie. Les sondages, longtemps favorables à Hillary Clinton, prédisent une élection beaucoup plus serrée que prévu, d'où l'importance de cet affrontement télévisé. Correspondance de Frédéric Carbonne.

La pauvreté, thème tabou dans la présidentielle américaine ? La sécurité, l'économie, l'emploi, et la prospérité seront les thèmes principaux autour desquels vont s'opposer Hillary Clinton et Donald Trump ce lundi soir, lors d'un premier débat télévisé. Mais aux Etats-Unis, où le SMIC, à 7,25 dollars de l'heure, est plus bas qu'en France, et où plus de 45 millions de personnes dépendent des bons d'aide alimentaire, il reste un sujet presque tabou pour les candidats à la Maison Blanche : celui de la pauvreté. Reportage à Orlando signé Nicolas Mathias et Claude Guibal.

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En Syrie, 250.000 personnes se retrouvent coincés dans les quartiers rebelles d'Alep, sous les raids aériens menés par Damas et Moscou
En Syrie, 250.000 personnes se retrouvent coincés dans les quartiers rebelles d'Alep, sous les raids aériens menés par Damas et Moscou
© AFP - Ibrahim Ebu Leys

Week-end meurtrier à Alep, pendant que la communauté internationale reste dans l'impasse diplomatique : C'est à la demande des Etats-Unis, mais aussi de la France et de la Grande-Bretagne que le Conseil de sécurité de l'ONU s'est réuni en urgence, hier, à New York. Urgence pour Alep, cette ville du nord de la Syrie, bombardée sans relâche par les avions du régime de Bachar al-Assad et son allié, la Russie. Damas et Moscou ont lancé une offensive aérienne sans précédent pour faire tomber les quartiers insurgés d'Alep. "Ce que la Russie soutient et fait, ce n'est pas de la lutte anti-terroriste, c'est de la barbarie", accuse l'ambassadrice américaine aux Nations-Unies. Son homologue russe reproche, lui, à la coalition internationale conduite par Washington d'avoir armé "des centaines de groupes" et de bombarder la Syrie "sans discernement". Impasse diplomatique, donc, entre les deux parrains d'une précédente trêve des combats. Et en attendant, sur le terrain, une pluie de bombes s'est abattue, ce week-end, à Alep. Au moins 25 morts, hier, ce qui porte à 124 le nombre de tués par les raids aériens depuis vendredi dernier. 19 enfants ont été ensevelis sous les ruines d'immeubles détruits. Correspondance de Laure Stéphan, à Beyrouth.

Marathon social, cette semaine, pour les salariés Alstom de Belfort : Les salariés d'Alstom, dont le site de Belfort est menacé de quasi-fermeture, attendent aujourd'hui des explications de leur PDG. Un comité central d'entreprise (CCE) extraordinaire se tient cet après-midi, au siège d'Alstom Transport à Saint-Ouen, en région parisienne. Henri Poupart-Lafarge va s'expliquer sur la stratégie économique du groupe, devant les réprésentants du personnel. Reportage de Nicolas Wilhelm de France Bleu Belfort-Montbéliard.

Mouvement de grève dans les hôpitaux : C'est pour dénoncer la dégradation des conditions de travail que les praticiens hospitaliers, les médecins, mais aussi les anésthésites-réanimateurs, et la plupart des spécialités (gynécologie, gériartrie, urgences, psychiatrie encore biologie) sont appellés à la grève aujourd'hui. Ils réclament une meilleure appréciation de leur temps de travail et une revalorisation des carrières à l'hôpital, confronté à une pénurie de praticiens. Reportage dans le journal de 7h30.

François Hollande se déplace à Calais : Après Nicolas Sarkozy la semaine dernière, c'est au tour de François Hollande de se rendre, aujourd'hui, à Calais, sur fond de polémique quant au sort des milliers de migrants qui vivent dans la "jungle", sous la menace d'une évacuation. Le chef de l'Etat doit officiellement poser la première pierre du chantier Calais Port 2015 en fin de matinée. Sans aller dans le campement de la "jungle", la question migratoire se glisse, tout de même, aujourd'hui dans l'agenda du président. Reportage de Mathieu Darriet de France Bleu Nord.