Le chef de l'Etat a justifié les frappes françaises en Syrie menées ce week-end et affirmé qu'il n'y avait pas de "coagulation" des luttes sociales en France au cours de l'interview d'hier soir.
Lors d'un entretien pugnace mené conjointement par Jean-Jacques Bourdin et Edwy Plenel, Emmanuel Macron a réaffirmé sa ligne près d'un an après son arrivée au pouvoir.
Le président de la République a notamment justifié l'intervention militaire qu'il a déclenchée ce week-end en Syrie, sans mandat de l'ONU, alors que l'enquête internationale sur l'utilisation d'armes chimiques par le régime de Bachar El Assad commence aujourd'hui. Dans ce journal précisions à suivre depuis Beyrouth.
Le chef de l'Etat a également martelé qu'il n'y a pas de "coagulation" des luttes pour ne pas dire "convergence" à travers les mouvements de contestations en cours en France ces dernières semaines. Analyse en direct de la stratégie d'Emmanuel Macron avec Ludovic Piedtenu dans un instant.
Alors qu'à Notre-Dame-des-Landes plusieurs milliers de pro-zadistes sont revenus sur le site évacués la semaine dernière : reportage à suivre.
A 7h12, dans le billet éco, Annabelle Grelier reviendra sur la cagnotte de solidarité avec les cheminots grévistes.
A l'Assemblée nationale, le projet de loi Asile et immigration sera débattu cet après-midi avec une majorité parlementaire divisée nous dira Anne Fauquemberg.
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