Etre au chômage est mauvais pour la santé

Stress, perte de sommeil, problèmes cardio-vasculaires, addictions, diabète, dépression : le chômage met la santé des chercheurs d'emploi en danger. L'association Solidarités nouvelles face au chômage (SNC) alerte et regrette que cette problématique soit "sous-estimée collectivement". Son rapport compile des données existantes et le prouve. L'absence d'emploi multiplie les risques psychiques (stress, anxiété, déprime) et les comportements. Les pathologies cardio-vasculaire et les cancers sont plus fréquentes chez les chômeurs, ainsi que les suicides. Entre 10 000 et 14 000 décès par an seraient imputables au chômage.

Pour y remédier, l'association SNC formule, dans son rapport, une série de préconisations, avec notamment l'instauration de visites médicale bilan pour les chercheurs d'emploi.

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Miser sur l'école primaire plutôt que le secondaire. Le ministère de l'Education nationale détaille les suppressions de postes : il y en aura finalement 2 600 dans les collèges et les lycées l'an prochain. Dans le même temps, le primaire gagne 1 900 postes. L'Education nationale contribuera donc fortement l'année prochaine à la réduction du nombre de fonctionnaires, au risque de déclencher la colère des premiers concernés ? Le SNES, première organisation du Second degré, envisage déjà des mobilisations d'ici la Toussaint.

Nous rejoindrons notre envoyé spécial à Salzbourg, en Autriche où se tient une réunion européenne. Ce mercredi, Theresa May a prévenu : il n'y aura pas d'accord sur le Brexit si une frontière économique est érigée avec l'Irlande du Nord. 

Shinzo Abé est réélu à la tête de son parti, au Japon. Grâce à son habileté, il devrait donc rester Premier ministre pendant encore trois ans. Entre reforme du travail, activité des femmes, fermeté face à la Corée du Nord, relations avec les présidents russe ou américain, il orchestre les priorités et le calendrier d’annonces. Les actes concrets, en revanche, peinent à suivre.