Montaigne et La Boétie : "Parce que c’était lui, parce que c’était moi"

"Parce que c’était lui, parce que c’était moi"
"Parce que c’était lui, parce que c’était moi" ©Getty - 	Nay Phan Sakdi Xrthi Wrrn / EyeEm
"Parce que c’était lui, parce que c’était moi" ©Getty - Nay Phan Sakdi Xrthi Wrrn / EyeEm
"Parce que c’était lui, parce que c’était moi" ©Getty - Nay Phan Sakdi Xrthi Wrrn / EyeEm
Publicité

Montaigne et La Boétie furent unis par une amitié passionnelle, célébrée dans les Essais par une belle formule, promise à une longue postérité, "Si on me presse de dire pour quoi je l’aimais, je sens que cela ne se peut exprimer qu’en répondant : parce que c’était lui, parce que c’était moi."

Leur amitié passe pour une des plus solides et une des plus profondes qui soient et l’on a coutume de se référer à eux lorsqu’on veut définir le modèle des amitiés véritables. Pourtant ils ne se sont connus et fréquentés que pendant les quatre dernières années de la vie de La Boétie...

En savoir plus : Histoires d'amitiés

Rencontre philosophique animée par Raphaël Enthoven  assisté de Julien Tricard .

Publicité

Raphaël Enthoven se penche sur l’amitié si singulière entre Montaigne et La Boétie en présence du philosophe Jean-Yves Pouilloux et des comédiens Georges Claisse et Jean-Louis Jacopin

L'équipe