

Adeline Dieudonné a choisit "La Vie Sauvage" de Thomas Gunzig, roman drôlatique et critique de notre société occidentale...
Nous avons rencontré l’écrivaine belge Adeline Dieudonné qui a récemment publié Kerozene aux éditions de l’iconoclaste. Kerozene ce sont des portraits, des petites histoires qui se recoupent, la nuit, dans une station service d’autoroute et qui s'inaugurent par cette phrase qui donne le ton :
Si on compte le cheval mais qu'on exclut le cadavre, quatorze personnes sont présentes à cette heure précise
Publicité

Pas sur que ce soit encore le cas à la fin de ce roman qui explore avec un humour tendance "noir ébène" les misères de nos vies modernes.
Alors pour son idée culture, Adeline Dieudonné nous parle également d’une satyre contemporaine, ou la réinvention du mythe de l’enfant sauvage...
L'équipe
- Production
- Réalisation