

Le photographe de Data Zone revient avec nous sur une oeuvre fondatrice de la photographie contemporaine. Un "choc esthétique" qui questionne, selon lui, le rapport de l'homme au pouvoir.
Nous avions rencontré il y a quelques semaines le photographe Philippe Chancel. C’était avant le confinement, et il se préparait à inaugurer, avec d’autres photographes invités, le festival Planches Contact à Deauville qui reste accessible aux deauvillais et deauvillaises qui le souhaiteraient puisque une grande partie de ses expositions se trouvent en plein air.


Alors Philippe Chancel, qui a marqué les esprits avec son colossal DATA ZONE qui explorait un monde en déclin en 2019, s’est tourné vers une photographie pour son idée culture.
Une oeuvre américaine, un choc esthétique et formel.
Cette photo est une des premières photo objective, elle ouvre vers le chemin vers la photographie documentaire
Paul Strand explore ici le capital, qui écrase l'humain en le déshumanisant
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