Depuis l’arrivée de Jean-Michel Blanquer, plusieurs décisions clés prises pendant l’ancien quinquennat ont été remises en cause : réforme des rythmes scolaires, remise en place des cours bilingues. Peut-on parler de victoire du conservatisme ? Pourquoi le progrès ne serait-il pas synonyme de mieux ?
- Alain Finkielkraut Philosophe, académicien, et producteur de l'émission "Répliques" sur France Culture
Hier, sur fond de désaccords avec le ministre de l’éducation nationale, Michel Lussault, président du Conseil Supérieur des Programmes (CSP) annonce sa démission.
« Le ministre n’est pas prêt à confier au CSP des missions correspondants aux chantiers à venir. » estime-t-il. Une manière de protester contre la politique éducative du gouvernement.
Depuis l’arrivée de Jean-Michel Blanquer, plusieurs décisions clés prises pendant l’ancien quinquennat ont été remises en cause : ce fut le cas de la réforme des rythmes scolaires avec le choix pour les mairies de revenir à la semaine de 4 jours, ou la remise en place des cours bilangues.
Peut-on parler de victoire du conservatisme ou encore de clivage entre les progressistes et les conservateurs ? Pourquoi selon certains le progrès n’est-il pas synonyme de mieux ?
Pour répondre à toutes ces questions, nous recevons ce matin, Alain Finkielkraut, philosophe, ancien professeur de philosophie à l’Ecole polytechnique, producteur de l’émission Répliques à France Culture les samedis de 9H00 à 10H00, écrivain et auteur de “En terrain miné” avec Elisabeth de Fontenay édité chez Stock.
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