Politique : l’impopularité est-elle une fatalité ?

Emmanuel Macron rencontre la foule sur l'avenue des Champs-Elysées suite à la passation de pouvoir avec François Hollande
Emmanuel Macron rencontre la foule sur l'avenue des Champs-Elysées suite à la passation de pouvoir avec François Hollande ©Getty - Marc Piasecki
Emmanuel Macron rencontre la foule sur l'avenue des Champs-Elysées suite à la passation de pouvoir avec François Hollande ©Getty - Marc Piasecki
Emmanuel Macron rencontre la foule sur l'avenue des Champs-Elysées suite à la passation de pouvoir avec François Hollande ©Getty - Marc Piasecki
Publicité

Dans l’histoire de la Cinquième République, rares sont les gouvernements qui ont jouit de la faveur de la population jusqu’à la fin de leur mandat.

Avec
  • Elizabeth Pineau Journaliste politique Reuters / Présidente de l'Association de la presse présidentielle
  • Bruno Jeanbart directeur général adjoint d’OpinionWay

« Si pour sauver des vies il faut être impopulaire, j’accepte de l’être », déclarait le Premier Ministre Edouard Philippe au Journal du Dimanche, alors interrogé sur la probable et prochaine limitation de la vitesse sur les routes secondaires à 80 km/h. Depuis sa rentrée politique, le couple exécutif entend réformer, et vite. Il se heurte inévitablement à la réponse de l’opinion publique, qui tantôt approuve, tantôt condamne. 

Dans l’histoire de la Cinquième République, rares sont les gouvernements qui ont jouit de la faveur de la population jusqu’à la fin de leur mandat. Alors, en politique, l’impopularité est-elle une fatalité ? 

Publicité

Pour en discuter, Guillaume Erner reçoit Bruno Jeanbart, directeur général adjoint de l’Institut OpinionWay accompagné d’Elizabeth Pineau, journaliste politique à l’agence Reuters et présidente de l’Association de la presse présidentielle. 

L'équipe