

A la veille d’une huitième journée nationale de mobilisations et de grèves contre la loi travail, le dialogue semble plus que jamais rompu entre syndicats et gouvernement. Qui pâtit le plus de ce pourrissement du dialogue ?
- Robin Rivaton Essayiste, membre du conseil scientifique de la Fondapol
- Pierre Ferracci Président du Groupe ALPHA - Expert en relations sociales
- Leïla De Comarmond Journaliste sociale pour le quotidien « Les Echos ».
Les acquis sociaux sont-ils incompatibles avec les intérêts économiques de la France et la rendent-ils irréformables ?
Assiste-t-on au retour en force d’un syndicalisme radical porté par la CGT, ou s’agit-il du chant du cygne d’une mobilisation jetant ses dernières forces dans la bataille ?
Nous recevons en première partie Robin Rivaton, économiste et essayiste, conseiller chargé de l’attractivité et du développement économique du territoire auprès de Valérie Pécresse, présidente de la région Ile de France.
Et en deuxième partie Pierre Ferracci, PDG du groupe Alpha, cabinet conseil dans les relations humaines et les conditions de travail et Leïla de Comarmond, journaliste aux « Echos », auteur notamment du livre « Les vingt ans qui ont changé la CGT » (Denoël, 2013).
Ecoutez ici la deuxième partie.
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