Accusée d’avoir entravé la mission de l’OMS à Wuhan sur la pandémie, la Chine cherche désespérément à en réécrire son origine. En agitant ses succès sanitaires, économiques et diplomatiques.
- Philippe Klein médecin, directeur de clinique AEMC INTERNATIONAL SOS à Wuhan
- Carine Milcent économiste, professeure à l’Ecole d’économie de Paris
- Antoine Bondaz Chercheur à la Fondation pour la recherche stratégique, enseignant à Sciences Po
Alors que de nombreux pays se débattent encore avec l’épidémie, les voyants de la Chine sont au vert : le virus semble loin, l’économie est repartie et le déploiement des vaccins chinois apparaît comme un formidable outil diplomatique. C’est du moins le discours officiel. La politique de l’Empire du milieu n’a en réalité jamais été aussi clivante. Au-delà de l’affichage de ces succès, la Chine essuie les sanctions de nombreux pays, qui dénoncent les violations régulières des droits de l’Homme, notamment l’oppression des Ouïghours, au Xinjiang.
Carine Milcent, économiste, professeure à l’Ecole d’économie de Paris, chercheur au Centre National de la. Recherche Scientifique (CNRS), auteure de « Healthcare reform in China » (MacMillan, 2018)
Philippe Klein, médecin, directeur de clinique AEMC INTERNATIONAL SOS à Wuhan
Antoine Bondaz, chercheur à la Fondation pour la Recherche Stratégique, enseignant à Sciences-Po.
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