Carson McCullers, Le cœur est un chasseur solitaire (1940) : épisode 4/4 du podcast Romans d'anthologie pour Noël

La romancière américaine Carson McCullers, en 1955.
La romancière américaine Carson McCullers, en 1955. ©Getty - Bettmann
La romancière américaine Carson McCullers, en 1955. ©Getty - Bettmann
La romancière américaine Carson McCullers, en 1955. ©Getty - Bettmann
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Le passage de l'enfance à l'âge adulte constitue peut-être le thème le plus important de l’œuvre de la romancière Carson McCullers (1917-1967). C'est à ce moment très précis que se révèlent les composantes de la solitude, cette "maladie américaine", et que naît son désir d'être avec les autres.

Avec

A l'occasion de la réédition chez Stock de ses œuvres complètes, cette émission propose un bref parcours aux côtés de Carson McCullers dans le Sud des Etats-Unis, où se côtoient des figures toutes plus attachantes et profondes les unes que les autres. 

Première partie. Entretien avec Marie-Claude Perrin-Chenour

Matthieu Garrigou-Lagrange s'entretient avec Marie-Claude Perrin-Chenour, professeur émérite de littérature américaine, à l'Université de Nanterre-Paris Ouest. Spécialiste de fiction américaine contemporaine, elle est l'auteur de plusieurs ouvrages scientifiques, dont Les romancières américaines (Ellipses, 1998). Elle a dirigé plusieurs travaux universitaires sur Carson McCullers. Elle nous parle, en particulier, de Frankie Addams (en anglais, The Member of the Wedding), peut-être le roman le plus célèbre de l'écrivaine américaine.

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La Grande table (1ère partie)
28 min

Seconde partie. Entretien avec Véronique Ovaldé

Matthieu Garrigou-Lagrange s'entretient avec la romancière et éditrice Véronique Ovaldé. Le thème de l'enfance l'occupe tout particulièrement, et c'est en partie pourquoi elle aime tant les romans de Carson McCullers. Son préféré, c'est Le cœur est un chasseur solitaire, qu'elle a préfacé à l'occasion de sa réédition chez Stock. 

Les Chemins de la philosophie
58 min

A 15h55, la poésie avec Jacques Bonnaffé.

  • Générique d'ouverture : Panama de The Avener
  • Générique de fin : Dwaal, de Holy Stays
  • Musique de la chronique : Self portrait de Chilly Gonzales