Ecrire la guerre : épisode • 3/4 du podcast Blaise Cendrars

Photographie de Blaise Cendrars en uniforme de la Légion étrangère, prise le dimanche de Pâques 1916, quelques mois après son amputation du bras droit.
Photographie de Blaise Cendrars en uniforme de la Légion étrangère, prise le dimanche de Pâques 1916, quelques mois après son amputation du bras droit. - Inconnu (Source : Wiki)
Photographie de Blaise Cendrars en uniforme de la Légion étrangère, prise le dimanche de Pâques 1916, quelques mois après son amputation du bras droit. - Inconnu (Source : Wiki)
Photographie de Blaise Cendrars en uniforme de la Légion étrangère, prise le dimanche de Pâques 1916, quelques mois après son amputation du bras droit. - Inconnu (Source : Wiki)
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Depuis le jour où elle déniche un exemplaire de "La Prose du Transsibérien et la Petite Jehanne de France", Gisèle Bienne chemine avec et sur les traces de Blaise Cendrars. Ce cheminement l'a menée à la ferme de Navarin, où Cendrars perdit son bras droit; ce qu'elle raconte dans deux de ses romans.

Avec

Gisèle Bienne est romancière et essayiste, et grande lectrice de Blaise Cendrars.  Il figure souvent aux côtés des personnages de ses romans, et occupe parfois, comme dans La ferme de Navarin (Gallimard, 2008), une place de premier plan. Il apparaît aussi dans son dernier roman, Les fous dans la mansarde (Actes Sud, 2017).

A 15h30, la chronique de Michel Crépu, écrivain, essayiste, rédacteur en chef de la Nouvelle Revue Française.

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A 15h55, Jacques Bonnaffé lit de la poésie. 

MUSIQUE GÉNÉRIQUE: Ouverture : Panama de The Avener (Capitol) Fin : Dwaal, de Holy Stays (Something in Construction)

MUSIQUE CHRONIQUE: Self portrait de Chilly Gonzales (Gentle threat).

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