Genèse et métamorphose du roman d'espionnage : épisode 4/4 du podcast Le Carré - Greene - Les romans d'espionnage

Affiche du film "Les espions" réalisé par Henri Clouzot en 1957
Affiche du film "Les espions" réalisé par Henri Clouzot en 1957
Affiche du film "Les espions" réalisé par Henri Clouzot en 1957
Affiche du film "Les espions" réalisé par Henri Clouzot en 1957
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Le journaliste François Rivière et l'autrice Marie Cosnay sont les invité.e.s de cette dernière émission au cours de laquelle nous revenons aux sources du roman d'espionnage et évoquons les écivain.e.s qui ont précédé Graham Greene et John le Carré.

Avec

Aux origines du roman d'espionnage

François Rivière a consacré un ouvrage aux romans d'espionnage de la Première Guerre mondiale. En effet, la guerre de 1914-1918 a vu naître le roman d'espionnage tel que nous le connaissons aujourd'hui. "Le roman d'intrigue internationale" s'adressait à un public large et l'intrigue se déroulait souvent dans une ou plusieurs grande(s) ville(s) de par le monde. Les romans à succès de Jean Bruce (1921-1963) en  sont un exemple, parmi eux la série "OSS 117" selon le nom de code du héros et agent secret, Hubert Bonnisseur de la Bath.

Affiche du film "OSS 117 : Le Caire, nid d'espions" réalisé par Michel Hazanavicius en 2006 et adapté du roman de Jean Bruce (1921-1963)
Affiche du film "OSS 117 : Le Caire, nid d'espions" réalisé par Michel Hazanavicius en 2006 et adapté du roman de Jean Bruce (1921-1963)

Selon notre invitée Marie Cosnay, autrice de polars poétiques, le roman d'espionnage pourrait déjà être perçu à travers les intrigues de la Grèce antique, lors de la guerre de Troie notamment.  Ses romans et le plus récent, Épopée, se déroule à notre époque autour d'un double crime dans une rue de Belleville à Paris mais, là encore, l'intrigue est internationale...

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À 15 h 30 : le chroniqueur Marc Porée évoque la figure de l'espion.

À 15 h 55 : Jacques Bonnaffé achève la lecture du babillage poétique des oiseaux de Jacques Demarcq.

MUSIQUE GÉNÉRIQUE : Panama, de The Avener (Capitol) fin : Dwaal, de Holy Stays (Something in Construction)

MUSIQUE CHRONIQUE : Self portrait de Chilly Gonzales (Gentle threat)